Titre : Étendards La mandoline l’oeillet et le bambou
Ô batailles la terre tremble comme une mandoline FEMME COMME LA BALLE À TRAVERS LE CORPS LE SON TRAVERSE la vérité car la RAISON c’est ton Art
Que cet oeillet te dise la loi des odeurs qu’on n’a pas encore promulguée et qui viendra un jour régner sur nos cerveaux bien + précise & + subtile que les sons qui nous dirigent Je préfère ton nez à tous tes organes ô mon amie Il est le trône de la futur SAGESSE
O nez de la pipe les odeurs cendre
fourneau y forgent les chaînes O univers infiniment déliées qui lient les autres raisons formelles O