Chaque fois qu´une porte s´ouvre, j´me rends compte que je souffre rien dans le portefeuille et mes espoirs à contre-jour, Il faut que ca change tout de suite, "pendre" des flics,
on se fout des risques, l´essentiel c´est de prendre le fric. A quoi bon, tu bé-tom et tu ressors en chien, prêts à faire des trucs de cons pour le support des anciens. Que c´est bon d´etre libre, arrivé en calèche, tu rêves d´une liberté dont les condés te privent. Que c´est bon d´etre ivre, mais après quelques bières, je n´ai d´amour que pour le son et le crime, ouais! Tous mes potes se gourent, trop de de-mer, chaque fois qu´une porte s´ouvre, une autre se ferme. Souvent mal entouré, mais j´suis salement doué, j´reste fort mais vos bêtises m´ont gravement touché.
J´suis la salope de personne, j´ai pas peur des bastons, si mes phalanges te questionnent, interroges ton bastion.
(x2) A chaque fois j´ai peur de flancher A chaque fois j´effleure le danger Une porte qui s´ouvre, une autre qui se ferme Des potos qui partent, et des potos qui reviennent
J´ai détalé quand les shmitt m´ont dit "Diakité arrete toi!" J´ai palpité mais pas d´pitié car Maggie est avec moi. Ca galère en équipe, Kalash, Mal et Elie, on garde la calèche dans l´esprit.
Toujours calé quand j´écris, bagarre, bicrave Tasse-pé, Face B, la rage est dans mes tripes. J´m´arrache, et prends les bifs, salopard, T´es pas un refré si t´as bavé devant les flics. Villeneuve la Garenne, 92, Valenton, Les Bolognes, Le batiment neuf, les trafiquants de teush, Eh poto, j´vais clamser, c´est comme ça, c´est Lams qui glock ceux qui veulent nous taxer de force. J´écorche les sales traitres, c´est des putains de merdes, pour pas les buter il faudrait que je me bute un verre, que je me mette dans le mouv´, en restant cool, ??? bande d´enfoirés, mon putain de buzz je l´ai fait sans vous.
(x2) A chaque fois j´ai peur de flancher A chaque fois j´effleure le danger Une porte qui s´ouvre, une autre qui se ferme Des potos qui partent, et des potos qui reviennent
Chaque fois je me dis que c´est la dernière, mais j´peux pas, c´est ve-gra, j´dois tiser ma heineken. Cette addiction me rends fou, c´est ma partie sombre, à la Ardisson, j´exhibe ma vision devant vous. Bah ouais! J´suis déphasé, décalqué, j´ai la gueule de l´emploi, j´ai cramé le R.A.P., maqué devant le Bois.
La porte qui se ferme, j´croyais que j´avais touché le fond, depuis qu´elle s´est ouverte, j´suis tourmenté toutes les secondes. J´ai l´impression de crever, à force de fumette, devient suspect comme une fond de rre-vé. Les yeux rouges vif, négro on tue le proc´ pour mes frères qui rêvent de soutifs et ceux qui suffoquent. Ils ont des problemes de fric, du genre pour finir les fins de mois, dépannes les sins-voi, même les poches pleines de vides. Mais je reste digne, qui peut en dire autant? Laissez place au charbon, écratez les tire-au-flanc.