J´passe ma vie à Parler de Succès et de rêve Mais tout ça
J´le fais d´mon dernier étage
Au dernier étage J´me pose pour voir le temps défiler Pour quelquesjavascript:replaceSongLyrics(); minutes, histoire de m´ressourcer J´observe le monde d´une tour de béton Toujours mon ouïe captée par des métaux J´y vois tellement de choses, c´est le cirque Zavatta Au moins à mes blèmes-pro j´peux dire « À plus tard » Et qu´on m´dérange pas, qu´on m´ignore Mes moments au dernier étage valent de l´or
Si proche du ciel que j´peux plus m´en passer Si proche du ciel que j´peux plus m´en passer Au dernier étage je vois le temps passer
Au dernier étage je vois le temps passer Si proche du ciel que j´peux plus m´en passer Si proche du ciel que j´peux plus m´en passer M´en passer, m´en passer, m´en passer
Au dernier étage, là où l´homme se retrouve seul dans sa zone À l´abri des autres, sa seule tête pour juger ses fautes C´est là où les amoureux se prélassent Survivent en s´enlaçant Et y´a qu´ici qu´ça s´passe comme ça Rien ne peut détruire cette bulle Ces belles lueurs Pas d´sautes d´humeurs La mort connaît pas de tumeur Au dernier étage, le véritable éclate La vraie nature reprend le dessus
Le cœur rentre à sa place Y a que des gens comme moi au dernier étage Une philo et un lieu, c´est notre moderne héritage Travailler dur ce qu´on aime, on s´y exerce Et rien d´mieux qu´le dernier étage pour voir nos excès Y a pas de dress-code ni de courant de pensée Que du bon pour qu´on continue sur notre lancée Et qu´on nous dérange pas, qu´on nous ignore Nos moments au dernier étage valent de l´or
Si proche du ciel que j´peux plus m´en passer Si proche du ciel que j´peux plus m´en passer Au dernier étage je vois le temps passer Au dernier étage je vois le temps passer Si proche du ciel que j´peux plus m´en passer Si proche du ciel que j´peux plus m´en passer
M´en passer, m´en passer, m´en passer
Ce que j´pense de tout c´que j´observe C´est que chaque personne a besoin d´une autre sphère Elle répare pas le présent mais baisse cette sale pression Ce que la tête ressent est décuplé en deux secondes C´est comme une deuxième maison Mais à trop y traîner, on y perd la raison Le dernier étage est un bol d´air frais Qui aère le crâne et se passe de tout mauvais effet C´est notre building, notre bunker Rempli d´être de bon cœur Mais qu´on ne le dérange pas, qu´on l´ignore Le dernier étage vaut de l´or