Sublimes divines troublantes charnelles Elles n´ont plus grand chose à cacher Sur les trésors qu´elles nous révèlent Dans toute la presse spécialisée
Laissez, laissez-nous rêver, laissez, laissez-nous rêver Rêver qu´à nous elles se donnent, ces filles que l´on n´aura jamais Des pages entières qui nous allument Rondeurs parfaites sentiers profonds Oh! Ces blondes platines, ces panthères brunes Éveillent en nous tous les démons
Laissez, laissez-nous rêver, laissez, laissez-nous rêver Rêver qu´à nous elles se donnent, ces filles que l´on n´aura jamais
Nous autres émus troublés sensibles On s´laisse avoir comme des gamins Ils font sauter tous nos fusibles Ces magazines qu´on lit d´une main
Laissez, laissez-nous rêver, laissez, laissez-nous rêver Rêver qu´à nous elles se donnent, ces filles que l´on n´aura jamais Ces filles que l´on n´aura jamais.