Tu veux qu´j´te parle de quoi ? Toujours la même histoire J´traîne en bas, sourire dans l´six litres 3, j´me contente plus d´mille trois, plus ton time
Ton visage m´effraye, regard shaïtanisé, faut plus qu´on s´voit Ma peau qu´on tapisserait, j´veux plus sympathiser, c´est mon choix Je conduis, mes pensées sont loin, mes pensées sont noires Quand ils s´ennuient, ils font qu´parler sur moi, j´sais même plus qui croire Chacun sa vie, chacun son épaule mais l´histoire se répète J´vais voir autre chose, la galère nous épaule alors qu´la vie est belle
Faudrait qu´j´leur dise qu´un jour faudrait qu´j´aille voir ailleurs J´peux pas mentir, j´suis c´petit fils de tirailleur Faudrait qu´j´leur dise qu´un jour faudrait qu´j´aille voir ailleurs
J´peux pas mentir, j´suis c´petit fils de tirailleur
Petit jeune du tier-quar, je maigris, je m´égare, faut coffrer, faire sa vie, le temps passe, comment dire ? Endurci, j´m´en ressers, j´prends une cuite, j´me pète le crâne N´effacerons pas mes dettes mais retiendrons ma tête Ils m´ont négligé j´crois, j´suis pas d´ceux qui déçoivent Voulaient m´voir finir dans l´square, très peu connaissent l´histoire Elles sont prêtes les cartouches pour ceux qui barrent mon parcours, j´crois qu´j´ai fais l´tour
Faudrait qu´j´leur dise qu´un jour faudrait qu´j´aille voir ailleurs
J´peux pas mentir, j´suis c´petit fils de tirailleur Faudrait qu´j´leur dise qu´un jour faudrait qu´j´aille voir ailleurs J´peux pas mentir, j´suis c´petit fils de tirailleur
J´peux pas mentir, j´suis c´petit fils de tirailleur J´peux pas m´enfuir, j´suis c´petit fils de tirailleur