J´m´aère l´esprit en écrivant ces lignes Y a que des crises, on voit les signes, mais y a la queue d´vant Céline Les victoires sont corrompues (Toutes), pourries jusqu´à la moelle
J´me soucie que du temps, j´m´en fous d´ta montre, vu qu´elle est pas à moi (Ah ouais) J´matte des Strip-teases, l´émission, pas les meufs à poil Il m´faut à boire, les chiens m´parlent et les keufs aboient Dans cette cellule, dans les têtes, c´est l´Ukraine C´est l´paradis des rats, reste loin des rails, ça peut t´pousser du quai J´suis l´mec posé qui bouge quand les flics passent C´est pas efficace, j´suis dans l´pot-dé, j´suis pas dans les chichas, c´est ti-par Encore une voix qui troue les paravents Les horaires d´un vampire, pour m´voir mourir, faudra des balles d´argent
J´suis l´mec posé qui bouge quand les flics passent C´est pas efficace, j´suis dans l´pot-dé, j´suis pas dans les chichas, c´est ti-par Encore une voix qui troue les paravents Les horaires d´un vampire, on va mourir, faudra des balles d´argent
Gris foncé, comme le ciel, comme le sol de la ville, ici, tout est gris foncé Gris foncé, comme la cendre J´ai des absences, c´est glaçant, dans mes écrits, tout est gris foncé Gris foncé, comme le ciel, comme le sol de la ville, ici, tout est gris foncé Gris foncé, comme la cendre J´ai des absences, c´est glaçant, dans mes écrits, tout est gris foncé
Les dealers sont patients, mais les éboueurs craquent Ça tire mais y a pas d´flash blanc, là, c´est pas Counter-Strike Ça n´a pas d´sens (Non), tout l´monde sait qu´c´est la rôtisserie De dix-sept à soixante-dix-sept ans, tous les schlags rôdent ici J´capte plus rien dans c´pays, tout s´transforme en ??? J´observe, j´suis en retrait comme le jamaïcain dans Belly Ce soir, c´est beau, y a Fabiano qu´amène un tas d´blunt (Eh) Café serré dans un p´tit verre, y a pas d´Starbucks Serré, Gardé à vue, libéré, entrée, plat, dessert
Si tu flambes trop, tu peux t´faire enlever par des Serbes La colonne monte, on l´entend d´loin comme la voix d´un trans Bruit d´vérin, d´un coup, ça crie et tous les voisins tremblent
Serré, gardé à vue, libéré, entrée, plat, dessert Si tu flambes trop, tu peux te faire enlever par des Serbes La colonne monte, on l´entend d´loin comme la voix d´un trans Bruit d´vérin, d´un coup, ça crie et tous les voisins tremblent
Gris foncé, comme le ciel, comme le sol de la ville, ici, tout est gris foncé
Gris foncé, comme la cendre J´ai des absences, c´est glaçant, dans mes écrits, tout est gris foncé Gris foncé, comme le ciel, comme le sol de la ville, ici, tout est gris foncé Gris foncé, comme la cendre J´ai des absences, c´est glaçant, dans mes écrits, tout est gris foncé
Tout est gris (Gris), tout s´épuise, ouais, c´est grillé C´est gris, ouais, écoute les cris, t´es sceptique, c´est plié J´m´en fous d´briller, j´suis au front tel un mercenaire (Eh) J´pense à long terme, il pense aux ventes en première semaine (Ha ha) J´évite la brigade cynophile, c´est nos vies
Dans cette ville grise, soit t´as l´courage, sinon, fuis (Fuis) Tu m´verras pas claquer des sommes mirobolantes (Non, non) J´envoie que d´la fumée, j´vois le chauffeur s´endormir au volant
Gris foncé, comme le ciel (Comme le ciel, comme le ciel, comme le ciel, comme le ciel, comme le ciel) Gris foncé (Comme la cendre, comme la cendre, comme la cendre, comme la cendre, comme la cendre, comme la cendre) Tout est gris foncé
Gris foncé, comme le ciel, comme le sol de la ville, ici tout est gris foncé Gris foncé comme la cendre
J´ai des absences, c´est glaçant, dans mes écrits, tout est gris foncé