Ils l´ont tellement voulue C´est cette Corse-là qu´il leur fallait C´est cette Corse-là qui leur manquait C´est bien ainsi qu´elle leur est nécessaire aujourd´hui Elle est à eux, bien à eux...
Nous, nous nous gardons la nôtre. La leur, la leur est à la Une,
La nôtre est que patience Elle retiens son souffle comme ont se retiens de vivre Ne vous taisez pas ,prenez les par la mains
La leur est un bruit une rumeur un portrait qui fait peur sous une colère qui gronde
La nôtre est dans l´éternité d´un village ou inlassablement veille la passions de vivre Il y reste encore des hommes debout loin des choses loin des choses que l´ont gagne Il y reste encore des hommes qui parlent a la terre
Et la terre leur répond
La leur la leur est un mur immense sur les chemins d´avenir
La nôtre la notre est gravée sur le seuil des fontaines et les arbres centenaires sur les pas du berger qui ramène un troupeau Elle est cet enfant sur le chemin de l´école, un cartable à la main, Et des rêves plein les yeux Ne vous taisez pas ,prenez les parla mains
La leur est un problème qui sème le doute et l´erreur ... Une menace, une excuse, un malentendu... ou naissent les désamours
Qu´ils ne cherchent pas plus loin, c´est bien ainsi qu´ils la voulaient avec ses lendemains de frustration et d’inquiétude Qu´ils en acceptent la maladresse Qu´ils n´enlèvent rien , elle leur appartient,
La nôtre, La nôtre est une conscience qui marche une flamme qui défit les temps Elle est dans la confiance et dans la force que la vie pose sur le visage des Pères Dans les regards des anciens une porte ouverte, une caresse à tout les hommes du monde comme c´est hommes qui montre leurs mains de paysans
Elle n´accuse pas Elle ne quémande pas Elle ne veut rien, rien d´autre que garder son âme dans la paix d´une maison et dans la paix du monde gardait son âme comme un homme penchait sur la terre une femme qui attend un enfant Elle est cet enfant qui vivra cette petite fille qui chantera encore, ce chant qui s´élève, porté par des milliers de voix . Un champ qui rassemble et relis les hommes un peuple humain un peuple qui viens elle est cette voix qui répondra encore et encore bien après bien après eux et au-delà de nous tous
Ne vous taisez pas ,prenez les par la mains Faites chantaient vos voix il y a toujours quelque part une âme qui ne suit pas les autres Il y a toujours un homme debout quelque part un homme pencher sur la terre il y aura toujours un cœur qui se redresse quelque part un cœur qui se redresse chaque jour ne vous taisez pas prenez les par la main faites entendre vos voix un jour un jour ses certain les hommes aurons la force d´un poignet de lumière assez de courage d’intelligence pour reconnaître que ce chant là raconte une espérance une vérité
un jour ses certain les hommes aurons la force d´une poignet de lumière assez de courage et d’intelligence pour reconnaître que se chant la raconte une promesse dignité de beauté de paix du monde ne vous taisaient pas prenez les par la main faite entendre vos voix un jour ils habituerons a reconnaître ils habituerons a aimer raconte leur se que seul des millier de voix qui chante ensemble peuvent dire il y a toujours une voix toujours une âme qui ne suit pas les autre
il y aura toujours un homme pencher sur la terre un homme quelque part debout une langue pour chanter d´autre langues un monde pour aimer d´autres mondes il y aura toujours un homme debout ne vous taisez pas prenez les par la main faites chantez vos voix