Même si il m´agace Ou vole ma place Je fais face au vent, à contre courant, pris dans la tornade Tout le monde le désire
Mais personne l´aura Il déchaîne les foules et l´orage un peu comme l´oracle
Toi tu sais pas les dégâts qu´il fait Un réel cauchemar maquillé en conte de fée Toi tu sais pas les dégâts qu´il fait Un réel cauchemar maquillé en conte de fée Je l´aime quand même C´est mon dilemme Son corps m´entraîne Je l´aime quand même
Un mot d´adieu sur la table serait-ce une aubaine Pour prendre la fuite, péter un câble, relire tous ces poèmes Mais je l´aime quand même Mais je l´aime quand même
Des ronces ou des roses? D´errance et d´émeraude? Est-ce bien ça la haine?
Toi tu sais pas les dégâts qu´il fait Un réel cauchemar maquillé en conte de fée Toi tu sais pas les dégâts qu´il fait Un réel cauchemar maquillé en conte de fée Je l´aime quand même C´est mon dilemme Son corps m´entraîne Je l´aime quand même
Je l´aime quand même Malgré ces défauts Le monde veut le défendre sans le connaître ce monde est fous Mais je l´aime quand même
Ainsi va la vie Serais-je trop bonne, ou bien trop conne, ou trop naïve
Je l´aime quand même C´est mon dilemme Son corps m´entraîne Je l´aime quand même Je l´aime quand même C´est mon dilemme Son corps m´entraîne Je l´aime quand même