La ligne est fine Entre la valse et la transe Avons nous tourné trop vite Sommes nous trompés de cadence Le chemin est court
Entre regard et transparence Avons nous trop fixé le vide De ces océans immenses
Au diable les parapluies Marchons sous la tempête Amoureux trempés ruisselants esthètes Au diable les abris Cheminons contre le vent Contre le vent et les marées Dégoulinants amants amarrés
Coulons l’encre N’abusons point la déchéance Trop de plumes brisées sur Ma muse la distance Cet orchestre endormi Attends pour fuir la dissonance
Deux poitrines réunies Et quelques pas de danse
Au diable les parapluies Marchons sous la tempête Amoureux trempés ruisselants esthètes Au diable les abris Cheminons contre le vent Contre le vent et les marées Dégoulinants amants amarrés