Bangkok quatre vingt trois, il ne me reste rien, l’envie folle de son corps glisse entre mes mains
La torpeur étouffante, d’un décor d’autrefois pour sa chaleur pour un quart d’heure, je ferais n’importe quoi Son peignoir qui s’entrouvre, sur un corps qui attend, impudique quand il faut, elle a la magie de l’instant Elle seule sait m’arracher ces cris qui m’humilient dans le noir, dans la nuit, d’un amour interdit.
Bangkok qui s’embrume il ne me reste rien Trop d’alcool de fumée assassinent son parfum Je pleure pour cette putain je meurs dans cette impasse Plus d’issue tout s’efface long frisson qui se casse.
Je meurs sur ses fous rires renais quand elle transpire elle est trop forte pour moi
Mes larmes sur ses reins dans la glace elle s’étire Oh ! bien trop forte pour moi moi