En mille neuf cent Quand mon grand papa Par son gout séduisait les cousettes
Il leur lançait les mots Qu’en ce temps là on apprenait Au bal musette « Cache ton piano !» « Sur le quai les ballots ! » « Est-ce que ta sœur fait toujours du vélo ! » Vous le voyez c’était charmant ! Mais aujourd’hui l’on entend :
VAS Y MON KIKI ! VAS Y MON KIKI ! VAS Y MON KIKI ! VAS Y MON KIKI ! C’est parti ! Dans tout Paris C’est le cri des titis ! VAS Y MON KIKI ! VAS Y MON KIKI !
C’est parti ! Dès le matin on entend de refrain ! Ah ! Ca c’est beau ! Même si vous chantez faux En fa dièse ou en do ! Faites pas attention Comme moi vous serez tous dans le ton ! VAS Y MON KIKI ! VAS Y MON KIKI ! C’est parti! A vos amis vous le direz aussi ! Si ce nouveau cri Vous l’avez compris C’est parti ! Oui ! C’est parti ! MON KIKI !
2.
Si dans la rue l’agent met du temps Pour déclencher le signal vert ou rouge ! Si le garçon qui sert au restaurant A vos appels jamais ne bouge ! Et par hasard si vous avez choisi Un bon époux dans le genre endormi ! Un bon conseil sans vous énerver Gentiment vous lui direz :
VAS Y MON KIKI ! VAS Y MON KIKI ! VAS Y MON KIKI ! VAS Y MON KIKI ! C’est parti ! Dans tout Paris C’est le cri des titis ! VAS Y MON KIKI ! VAS Y MON KIKI !
C’est parti ! Dès le matin on entend de refrain ! Ah ! Ca c’est beau ! Même si vous chantez faux En fa dièse ou en do ! Faites pas attention Comme moi vous serez tous dans le ton ! VAS Y MON KIKI ! VAS Y MON KIKI ! C’est parti! Si cette scie amuse vos amis Faites comme moi Et répétez là sans répit Et c’est parti ! MON KIKI ! Faites comme nous Répétez partout Notre cri et