Menait de jolies chevrettes Au pré verdoyant Par un beau jour de printemps Toinon, fredonnait, N’ayant de soucis en tête Un bouc agitait Sa clochette qui sonnait
Écoutez donc les joyeuses clochettes Gai carillon, sonnez, sonnez toujours Drelin, Drelin, Écoutez bien fillettes, Écoutez bien Elle chante l’amour
Au pré, un berger Amoureux de la Toinette, Voulu l’embrasser
Mais elle de refuser Méchant, il lui prit Le bouc portant la sonnette Avec il s’enfuit Au bois trainant le cabri
Écoutez donc les joyeuses clochettes Gai carillon, sonnez, sonnez toujours Drelin, Drelin, Écoutez bien fillettes, Écoutez bien Elle chante l’amour
Il faut rattraper Le bouc, aussi la Toinette Va sans hésiter, Au bois pour le rechercher Les bois, sont tout noirs
Mais elle entend la sonnette Elle va dans l’espoir Certain de l’apercevoir
Écoutez donc les joyeuses clochettes Gai carillon, sonnez, sonnez toujours Drelin, Drelin, Écoutez bien fillettes, Écoutez bien Elle chante l’amour Sans voir le danger Le pied de Toinon se but Et c’est le berger Qui l’aide à se relever Il lui a rendu Son bouc, mais dans la culbute Toinon, a perdu Ce qu’elle ne retrouvera plus
Écoutez donc les joyeuses clochettes Gai carillon, sonnez, sonnez toujours Drelin, Drelin, Écoutez bien fillettes, Écoutez bien Elle chante l’amour
En écoutant Les joyeuses clochettes, Très simplement On peut donner son cœur C’est un refrain Qui fait perdre la tête Un doux refrain Ou l’amour est vainqueur.