Quatre copains marchaient sur une route blanche Pidibim, pidiboum, pidibim, pidiboum, pidibim, pidiboum, boum, boum L’air était léger, c’était un beau Dimanche Pidibim, pidiboum, pidibim, pidiboum, pidibim, pidiboum, boum, boum
Ils avaient le cœur content Et ils s’en allaient en chantant : Tsoin tsoin tsoin Ah ! Quand on est bons copains Ah ! On se tient par la main Ah ! L’amitié est toujours Ah ! Beaucoup mieux que l’amour
Ils croisèrent soudain une jolie jeune fille Pidibim, pidiboum, pidibim, pidiboum, pidibim, pidiboum, boum, boum Un petit nez en l’air, un doux regard qui brille Pidibim, pidiboum, pidibim, pidiboum, pidibim, pidiboum, boum, boum Nos jeunes gens le cœur battant Firent demi-tour tout en chantant : Tsoin tsoin tsoin Ah ! Quand on est bons copains
Ah ! On se tient par la main Ah ! L’amitié est toujours Ah ! Beaucoup mieux que l’amour
Mais la petite coquette amorçant un virage Pidibim, pidiboum, pidibim, pidiboum, pidibim, pidiboum, boum, boum Tomba dans les bras su facteur du village Pidibim, pidiboum, pidibim, pidiboum, pidibim, pidiboum, boum, boum Et le facteur tendit aux gars Un télégramme conçu comme ça : Tsoin tsoin tsoin Ah ! Quand on est bons copains Ah ! On se tient par la main Ah ! L’amitié est toujours Ah ! Beaucoup mieux que l’amour