C´est pas un lobby qui me lobera Qui m´poussera à bout, comme vulgaire bouton Qu´on allume et puis...non. C´est pas un logo qui me logera
Son système Dolby à gagner des ronds, Comme unique solution. Dis-moi! Une question, T´as pas les boules quand tu te lèves Sur ton matelas de pognon? Moignons d´âmes et de rêves Et qu´tu fais l´addition Des poètes que t´as vu naître Et transformé en pions Junkys ou morpions? Ça sent la hyène ! Pas d´macaron pour macs à tunes Pas de blason pour fans à tics Sur la calandre du camion Plutôt un doigt l´vé vers le ciel Qui pousse l´amour vers l´éternel Et vers le bas l´odeur des cons
Dis-moi ! Une question, T´as pas la trouille quand tu te lèves Dans ton lit vers Toulon? Passé Vitrolles au vitriol
Et qu´tu fais l´addition Des poètes que t´as pas vu naître? Ils t´en reparleront. Et Basta aux colons. Touaregs, Yeddishs, Tziganes, Gitans, Gnawas, Nouchmas ! Le pouvoir du vent ! On arrête pas le vent. Et tu passes ta vie à refléter l´ennui A réduire à l´oubli toute trace de vie Et tu passes ton temps à vénérer l´argent A réduire en poussière toute trace du
temps. Comme si ton nombril abritait une ville, Ou le parfait exhibe son orgueil enivrant Comme si le Grand Blanc avait peint les débiles Pour dorer le blason du néant… Ça sent la hyène Mais elle bouffe pas le vent Ça sent la haine Mais laisse souffler le vent Ta terre est sienne Elle couche aussi avec le vent Ta terre est mienne