Fanny Toi qui m’aimais ô Fanny Ton jeune amour s’est fané Comme une fleur se fane au soleil trop brûlant de l’été O Fanny
Ton cœur d’enfant si léger Avait besoin d’être aimé Et tendrement bercé bercé bercé Et moi je t’ai emportée Dans le chaos de mon amour Et mon amour t’a brisée Ton cœur s’est meurtri pour toujours Mais Fanny Me voilà seul aujourd’hui Je m’aperçois ô Fanny Que tu étais toute ma vie, Souviens-toi de ce lever du jour Où la mer chantait des mots d’amour, Toi et moi, promeneurs vagabons Nous rêvions les yeux vers l’horizon
Fanny Ombre si frêle ô Fanny je te revois et mon cœur
Se souviendra toujours de cette aube éblouie de bonheur O Fanny Toi tu rêvais d’infini Mais moi je t’aime et la vie Est mieux qu’un rêve ô Fanny