Paraît que tu t’en vas Ouvre les bras Dans la mousse d’un ciel sans nom À tes trousses tes enfants
Le paradis s’ra pas étanche Ça brillera jusqu’ici ton absence Le paradis s’ra pas étanche Ça brillera jusqu’ici ton absence
Tu es à naître quelque part Y’aura peut-être la rue Fraser Une chambre bleue à l’étage Et des fleurs sur la table Y’aura des jardins fantastiques Des couvertures électriques Pour s’y blottir le vendredi Et plus jamais mourir de toute la vie
Le paradis s’ra pas étanche Ça brillera jusqu’ici ton absence Des flocons d’oubli et puis l’avalanche Ensevelit ton existence