Qu´il pleuve, qu´il vente ou qu´il neige, j´avance, j´avance Qu´importe le sable et la grêle, j´avance jusqu´à maintenant,
J´avance jusqu´à vous, j´avance sans remords, J´avance jusqu´à ma mort, j´avance toi avec moi
Une rencontre en été a donné un amour Au destin vraiment incertain, où parfois on compte les jours, Et parfois le climat est lourd, Les ennuis passagers, les disputes éternelles, Aussi froides qu´une pluie d´hiver, mais parfois que les pluies sont belles, Tout d´un coup meurt une étincelle
Les regards qui s´évitent, les regards qui se croisent, Les amis qui nous bloquent sur un chemin de croix, On voudrait dire les choses, on n´y arrive pas, Si tu savais, Maman, l´amour me rend malade, Malade et fou, comment tu fis avec Papa, ô dis moi tout car …
R.
Quand les portes se ferment sur des jardins secrets, Où les amours se tissent en douce, mettant à nu tous nos attraits, Et c´est le plus beau des secrets, Nos vies sont des maisons à plusieurs entrées, Il laisse les fenêtres ouvertes, et le vent de l´amour rentrer, C´est si bon de s´enivrer, Les passions ne durent pas, et l´amour reste là Il est impitoyable, mon cœur est un appât, Et là on dit les choses, enfin on y arrive, Car avant toute chose, faut bien voir l´avenir, Si tu savais, Maman, l´amour n´est point heureux, On s´y attache, Papa, pour mourir à deux…mourir à deux …