[Josman] On m´dit qu´j´protège trop mon cœur mais j´ai eu trop bon cœur J´suis blessé en profondeur, mes sourires sont trompeurs
Que des longues gamberges, que des longues gamberges Démons qui m´gangrènent, fumée qui m´entraine On m´dit qu´j´protège trop mon cœur mais j´ai eu trop bon cœur J´suis blessé en profondeur, mes sourires sont trompeurs Que des longues gamberges, que des longues gamberges Démons qui m´gangrènent, fumée qui m´еntraine
[Jazzy Bazz] Gros, j´ai pas d´estime, j´roulе qu´avec les vrais, c´est mon état d´esprit Bosser pour les miens et les mettre à l´abri, rouler dans la ville et lâcher prise Le temps d´une virée, j´descends la bouteille et mon gava fume un pur
J´pensais à elle et j´ai lu son blase sur un mur J´ai cru voir un signe, ça me fait mal de nous voir ainsi Et bannir le système malgré les souffrances que ses rouages infligent Quand j´badais, j´allais faire un tour mais y a des choses qu´on ne comprend que lorsque qu´on s´en rappelle Longtemps après, tout paraît clair d´un coup On dira qu´c´est la flemme quand ça relève de la peur Juste un Gavroche dans un repaire de braqueurs Quand j´ai plus d´arguments, je lève le majeur J´protège trop mon cœur, tellement de vécu au compteur J´ressens les vibes en deux secondes et direct je plonge dans le son en profondeur
[Josman] On m´dit qu´j´protège trop mon cœur mais j´ai eu trop bon cœur J´suis blessé en profondeur, mes sourires sont trompeurs Que des longues gamberges, que des longues gamberges Démons qui m´gangrènent, fumée qui m´entraine
[Jazzy Bazz] J´te fais part de l´état d´esprit (Ouais) des quartiers que l´État méprise (Han) Au fric, se révèle indispensable (Hey) mais fait baisser notre indice mental (Ouais) Mon cœur en guise de coffre-fort, j´attends l´inversion du pôle Sud au pôle Nord (Je vis la nuit quand le monde dort) J´étudie le secret des pyramides et j´essaye de comprendre ce que veut dire le nombre d´or
Une vie citadine, ça rend nerveux, pire que Richie Aprile Paris, c´est pas c´qu´ils imaginent, ils s´font pouille-dé quand ils visitent la ville Chacun son fardeau (Ouais), moi, j´suis rempli de saudade comme le Fado Meurtri dans ma peau, quand j´pense à maman, disant chao à la miff´ avant de fuir l´Argentine en bateau Mais admire ce lust Albicéleste, j´déboule en sens inverse, les faux amis m´délaissent (Ouais) Pensant qu´c´est ainsi qu´s´élèvent tous ces gens qui deviennent archicélèbres J´ai pas gravi l´Everest, toi tu grapilles les restes, tout l´monde envie celui qui vit ses rêves Cinq heures : Paris s´éveille, les démunies se lèvent, les dominants, faut qu´on les soulève
[Josman] On m´dit qu´j´protège trop mon cœur mais j´ai eu trop bon cœur J´suis blessé en profondeur, mes sourires sont trompeurs Que des longues gamberges, que des longues gamberges Démons qui m´gangrènent, fumée qui m´entraine On m´dit qu´j´protège trop mon cœur mais j´ai eu trop bon cœur J´suis blessé en profondeur, mes sourires sont trompeurs Que des longues gamberges, que des longues gamberges Démons qui m´gangrènent, fumée qui m´entraine