💃🎤 Paroles de chanson Française et Internationnales 🎤💃

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Artiste : Jazzy Bazz
Titre : Albicéleste
[Josman]
On m´dit qu´j´protège trop mon cœur mais j´ai eu trop bon cœur
J´suis blessé en profondeur, mes sourires sont trompeurs

Que des longues gamberges, que des longues gamberges
Démons qui m´gangrènent, fumée qui m´entraine
On m´dit qu´j´protège trop mon cœur mais j´ai eu trop bon cœur
J´suis blessé en profondeur, mes sourires sont trompeurs
Que des longues gamberges, que des longues gamberges
Démons qui m´gangrènent, fumée qui m´еntraine

[Jazzy Bazz]
Gros, j´ai pas d´estime, j´roulе qu´avec les vrais, c´est mon état d´esprit
Bosser pour les miens et les mettre à l´abri, rouler dans la ville et lâcher prise
Le temps d´une virée, j´descends la bouteille et mon gava fume un pur

J´pensais à elle et j´ai lu son blase sur un mur
J´ai cru voir un signe, ça me fait mal de nous voir ainsi
Et bannir le système malgré les souffrances que ses rouages infligent
Quand j´badais, j´allais faire un tour mais y a des choses qu´on ne comprend que lorsque qu´on s´en rappelle
Longtemps après, tout paraît clair d´un coup
On dira qu´c´est la flemme quand ça relève de la peur
Juste un Gavroche dans un repaire de braqueurs
Quand j´ai plus d´arguments, je lève le majeur
J´protège trop mon cœur, tellement de vécu au compteur
J´ressens les vibes en deux secondes et direct je plonge dans le son en profondeur

[Josman]
On m´dit qu´j´protège trop mon cœur mais j´ai eu trop bon cœur
J´suis blessé en profondeur, mes sourires sont trompeurs
Que des longues gamberges, que des longues gamberges
Démons qui m´gangrènent, fumée qui m´entraine

[Jazzy Bazz]
J´te fais part de l´état d´esprit (Ouais) des quartiers que l´État méprise (Han)
Au fric, se révèle indispensable (Hey) mais fait baisser notre indice mental (Ouais)
Mon cœur en guise de coffre-fort, j´attends l´inversion du pôle Sud au pôle Nord (Je vis la nuit quand le monde dort)
J´étudie le secret des pyramides et j´essaye de comprendre ce que veut dire le nombre d´or

Une vie citadine, ça rend nerveux, pire que Richie Aprile
Paris, c´est pas c´qu´ils imaginent, ils s´font pouille-dé quand ils visitent la ville
Chacun son fardeau (Ouais), moi, j´suis rempli de saudade comme le Fado
Meurtri dans ma peau, quand j´pense à maman, disant chao à la miff´ avant de fuir l´Argentine en bateau
Mais admire ce lust
Albicéleste, j´déboule en sens inverse, les faux amis m´délaissent (Ouais)
Pensant qu´c´est ainsi qu´s´élèvent tous ces gens qui deviennent archicélèbres
J´ai pas gravi l´Everest, toi tu grapilles les restes, tout l´monde envie celui qui vit ses rêves
Cinq heures : Paris s´éveille, les démunies se lèvent, les dominants, faut qu´on les soulève

[Josman]
On m´dit qu´j´protège trop mon cœur mais j´ai eu trop bon cœur
J´suis blessé en profondeur, mes sourires sont trompeurs
Que des longues gamberges, que des longues gamberges
Démons qui m´gangrènent, fumée qui m´entraine
On m´dit qu´j´protège trop mon cœur mais j´ai eu trop bon cœur
J´suis blessé en profondeur, mes sourires sont trompeurs
Que des longues gamberges, que des longues gamberges
Démons qui m´gangrènent, fumée qui m´entraine