Sur la lucarne des maisons Le marronnier de la prison Sur le tambour des gitans Sur le pain tendre qui attend Les affûteuses de couteaux Le jour baisse toujours trop tôt
Sur les cageots et la vitrine De l’offreuse de mandarine Sur les yeux sur le frêle feu Dans la paume rose des vieux Sur les pousseuses de landaus Le jour baisse toujours trop tôt
Sur l’auto rouge du manège L’empreinte du vent sur la neige