Et les passants sâarrĂȘtaient le temps dâun refrain En se disant quâil aurait pu faire son chemin Mais lui ne voulait pas de ce chemin lĂ Et sa vie lui allait bien
On nâa pas besoin dâargent pour ĂȘtre riche Quâimporte les lauriers, il suffit pour bien vivre Dâaimer la vie pour ce quâelle est Et il chantait
Mais les gens qui ne voient pas plus loin que leur vie Disaient : « VoilĂ bien la jeunesse dâaujourdâhui Si chacun ne faisait que ce qui lui plaĂźt Que deviendrait le pays »