De temps en temps comme un enfant Ma pensée te dessine Yerushalaim De loin en loin tu n´es plus qu´un Rêve qui tombe en ruine
Yerushalaim Tels ces émigrants dont les yeux brûlants S´ouvrent à l´écho de ton nom D´au-delà des mers souvent à travers D´hostiles et dures régions J´étais venu mains vides et pieds nus À toi Yerushalaim Pour me garder tu as cloué l´amour Dans ma poitrine Yerushalaim Où sont mes joies n´y a-t-il pas De bonheur sans épines Yerushalaim Tout s´est acharné pour nous déchirer Et le brouillard de nos pleurs A troublé l´azur élevant un mur Entre son coeur et mon coeur Mais j´ai en moi l´espoir toutefois
Que l´amour encore renaisse et vive encore Pour toi Yerushalaim