Le printemps est loin, si loinLes champs sont roses sombresDans le fil dâune pensĂ©e morbide fluideLe vieil homme crache, crapoteComme un cochon il se fera abattreLe lampadaire tremble dans la nuit effervescenteLes gens crient que câest la fin du mondePuis rient car tout nâest pas encore finiLes fleurs et les odeurs reviendrontCâest sĂ»rEt on y sera, ou pas