Le long le fleuvedâune jeunesse perdueengloutie dans la bouejusquâaux hanchesde journĂ©es remplies de sensCe nâest quâavec toi,sale type, poussiĂšre de charbon,que jâai aperçula lampe dâun autre tunnel.Lâor noir du temps qui file,le temps immobileMangeur de pierres,tombĂ© dâune falaise lointaineton cri, on lâentend dâiciton cri nous assaillitde coups de vĂ©ritĂ©