Je sais que tu délires, de mes délires. Et que tu dis partout, que je ne t´aime plus. Tu m´as aimé, je t´ai aimé, c´est une morsure, Qui peut nous dire, qui mord le premier.
Tout ce que l´on raconte, c´est des mensonges. Qui sait jamais qui perd, ou qui va gagner. Nous sommes tous les deux sur la même monture, D´un cheval ivre qui peut détruire ce qu´est l´amour.
Nous, pauvres cœurs de papier Où s´écrit l´espérance de savoir aimer. Où s´étire la misère d´être sur la terre A détruire nos vies et subir la folie d´un amour fracassé.
Pauvres cœurs de papier
Tout ce que l´on raconte, c´est des mensonges. Qui sait jamais qui perd, ou qui va gagner. Nous sommes tous les deux sur la même monture, D´un cheval ivre qui peut détruire ce qu´est l´amour.
Nous, pauvres cœurs de papier Où s´écrit l´espérance de savoir aimer. Où s´étire la misère d´être sur la terre A détruire nos vies et subir la folie d´un amour fracassé.
Nous, pauvres cœurs de papier Où s´écrit l´espérance de savoir aimer. Où s´étire la misère d´être sur la terre A détruire nos vies et subir la folie d´un amour fracassé.