Qu’est-ce qui t’arrive ? Mon poto, j’te reconnais pas Pourquoi tu fais ça avec moi ? Je ne sais pas Et quand on s’voit, tu fais comme si on s’connaît pas
Oh nan, ne pleure pas, j’te vois dans tous tes états
Qu’est-ce qui t’arrive ? Mon poto, j’te reconnais pas Pourquoi tu fais ça avec moi ? Je ne sais pas Et quand on s’voit, tu fais comme si on s’connaît pas Oh nan, ne pleure pas, j’te vois dans tous tes états
À chaque fois qu’j’passe dans le tiek, y a les képis en vélo Bienvenue dans l’ghetto, shit et beuh dans l’bédo J’en ai à dire des choses, on s’bat tous pour des causes On fume tellement qu’on oublie tous qu’on décolle
On s’rabaisse comme des cons, alors que tout l’monde s’connaît On sait qui c’est qu’a fait la pute, on sait qui a déconné On sait qui est présent dans les têtes, présent quand ça va moulonner À force de dire que t’es le king, tu vas t’faire détrôner Fais pas l’beau, t’es trop laid T’inquiète pas, j’contrôle ; il m’faut les lovés, lovés Obligé d’innover au stud´ ou dans la gov Et si j’te critiquais tu l’saurais, il est sincère mon sourire Mais en c’moment, il s’fait rare comme la petite souris J’me rappelle quand on zonait, entassés dans une caisse éclatée
En classe j’servais à rien ; maintenant, les profs ils sont épatés Football, pas karaté ; les soucis m’ont pas raté J’peux plus sortir, on m’a dit “Jul, t’avais qu’à pas rapper” J’suis bien solo, moi ; ma carrière, je bâtis J’ai grandi dans l’quartier, qu’on me parle pas d’Illuminatis J’ai vu des géants tomber face à la taille d’Mimie Mathy Tu fais l’mec qu’a des sous mais ta mère peut pas s’remplir son caddie J’dis toujours vrai parce que j’aurais honte de mentir J’ai confiance en Dieu, j’le remercie pas assez quand j’m’en tire
J’fais pas exprès d’être gentil, j’veux pas qu’on croie qu’j’suis un bandit Soi-disant l’temps passe, tout s’efface Moi j’dis, t’oublies rien quand tu grandis J’veux les billets jusqu’aux centimes J’veux la baiser, pas d’sentiments Frérot appelle le 18 ; au mic, j’fais un incendie Dans la cabine, c’est danger, j’passe sous regard de ganja Pendant qu’les petits font des cambus Grimpent des murs comme des ninjas Hachich ou chicha ? T’as chich ou t’as pas chiche ? Au comico, t’es fiché ; c’est chaud pour toi, ma biche Ju-Ju-Jul, ouais, c’est moi J’cherche pas la merde, donc laissez-moi
Hé ouais, c’est nul, tu as rien fait Mais la juge, elle t’a mis six mois Bravissimo, franchement, ils m’ont vraiment blessé ces mots Tu sais qu’c’est mort, tu m’as trop bien trahi, j´peux te dire que c´est beau Écoute quand j’dégaine, tu sais que t’es dégun m´aide ** Regarde ta dégaine, tu n’es qu’un dégun mec T’es le sang de la veine, fais tourner la Heine-ne J’bois pour oublier, faut qu’j’évacue ma peine et ma haine Dégoûté quand la vie te prend pour un sac de frappe J’me dis qu’c’est la vie si j’la perd sur un accident, qu’je frappe
Qu’est-ce qui t’arrive ? Mon poto j’te reconnais pas Pourquoi tu fais ça avec moi ? Je ne sais pas Et quand on s’voit, tu fais comme si on s’connaît pas Oh nan, ne pleure pas, j’te vois dans tous tes états
Qu’est-ce qui t’arrive ? Mon poto j’te reconnais pas Pourquoi tu fais ça avec moi ? Je ne sais pas Et quand on s’voit, tu fais comme si on s’connaît pas Oh nan, ne pleure pas, j’te vois dans tous tes états
Qu’est-ce qui t’arrive ? Mon poto j’te reconnais pas
Pourquoi tu fais ça avec moi ? Je ne sais pas Et quand on s’voit, tu fais comme si on s’connaît pas Oh nan, ne pleure pas, j’te vois dans tous tes états
Qu’est-ce qui t’arrive ? Mon poto j’te reconnais pas Pourquoi tu fais ça avec moi ? Je ne sais pas Et quand on s’voit, tu fais comme si on s’connaît pas Oh nan, ne pleure pas, j’te vois dans tous tes états