Mais j´viens d´chez les Cessénions, lui a des bailleurs J´viens d´Rizbiz pour addition, tu peux t´faire baillonne C´est l´histoire du p´tit loup qui a démerré la lionne
Qui gardait tout l´butain du lion Bientôt c´est ce qu´il indique si t´as des bailas La soif du gain d´affaires s´étend depuis un bail la Il est pas déteur, baille-le ADR noir, il m´a dit "paradjumpers" J´suis coffré dans c´bar, dans l´bien Zon papiers vont s´noyer dans l´bain Djalé, ouais, j´m´arrête dans un autre coffee top-tar Le lendemain, il me rebranche pour l´engin Il s´est passé en vissage, j´lui fais un tuto en tac-tac T´as trop mon trigo, sois pas choc-bar de l´attaque Souvent du côté des ravisseurs à plusieurs octobres
Pas convaincu, t´en ressors intacte J´deviens baro, j´la bousille, ça toque
Je n´ai qu´un black kizé, les jambes à vira Menace devant chez ta sœur en visio J´les baise, ça m´fait ni chaud, ni l´réfrigérat Sa date, j´suis à temps qu´ils déprisent
Encore une magouille, c´est des cons, j´leur fais même pas la guérilla Ça va m´causer qu´la gadoue, le niouf, ils vont vite changer de pipasse J´me retrouve avec la pousse, jeune, j´me voyais en huitième de finale Humilier l´Zénith, Saint-Pétersbourg, ça coffre, ça gère, ça course
Encore une magouille, c´est des cons, j´leur fais même pas la guérilla Ça va m´causer qu´la gadoue, le niouf, ils vont vite changer de pipasse J´me retrouve avec la pousse, jeune, j´me voyais en huitième de finale Humilier l´Zénith, Saint-Pétersbourg, ça coffre, ça gère, ça course
Les portes sont mé-fers, on les ouvre Ma haie de rafale s´est trop confronté aux ours Mon armée, ma joue se font un zouk Ça reçoit les photos, on les zoom Et tu sais qu´j´loupe pas devant un Rémy vert-coutre Billets vert-rouge, Émile-Olivier poule J´t´ai dit, j´ai pris la route, tu m´as pas dit t´es vers où?
C´est des cons, j´leur fais même pas la guérilla, ça va m´causer qu´la gadoue, le niouf Les mecs, chez moi, ils coffrent, faut gérer sa course, course Douze ans, j´me voyais en huitième de finale, humilier le Zénith, Saint-Pétersbourg Oups, deux ans après, j´ai fini en geôle