đŸ’ƒđŸŽ€ Paroles de chanson Française et Internationnales đŸŽ€đŸ’ƒ

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Artiste : Keny Arkana
Titre : Esprits Libres
« Car rien ne changera si on compte sur les pessimistes, cousin ! »

ArrĂȘte de me juger, qui que tu sois et d’oĂč quÂŽtu viennes

Parce que l’on vient d’un quartier ou qu’on veut bousculer leur rùgne
Parce qu’on est libres et rebelles
Candides mais sur les nerfs
Calmes comme le temps ou d’un tempĂ©rament nuclĂ©aire
Oui, nous sommes l’intrigue aux frontiĂšres du rĂ©el
Porteurs d’un dernier souffle
Regarde dehors ce que la rue s’rĂ©vĂšle
La mauvaise foi aura un dur réveil
Croire en elle c’est comme parler de solidaritĂ© avec un gars du MEDEF
Ça sert à rien, ça s’appelle se voiler la face
Quand l’ignorant se cache derriùre son ignorance avare
Il en devient virulent, violent, défenseur de vos rangs

S’accrochant Ă  toutes vos romances, dĂ©vorant tout sur son passage
Nous, nous sommes le brassage
L’alliage du cƓur et d’la rage
D’la base et d’la marge, nous on fait trembler vos palaces
Voici les trublions, on changera le monde que vous le vouliez ou non
Car c’est notre destin et que l’histoire nous donnera raison !

Écartez vous si vous ĂȘtes trop lĂąches pour voir la vĂ©ritĂ©
Laissez passer les esprits libres
LignĂ©e de ceux qui renverseront l’histoire
On ne changera pas le monde si on compte sur les pessimistes
Alors fermez la maintenant, on en a marre de votre poison

V’nus faire pĂ©ter les cloisons, car c’est l’heure de la moisson
Fermez-la maintenant, bande de propageurs de vibes sombres
Fermez-la maintenant !

Pourquoi tu nous prend d’haut ?
Sors de ta bulle et on en reparle
On construit pour mieux faire trembler leurs remparts
Sache que la beauté de la vie dépend de ton regard
Et qu’lorsqu’un proche part à jamais non y a jamais d’au revoir
Tout part en live et ça prĂ©tend qu’c’est normal
C’est vos rĂȘves qu’ont fait ce monde et il ressemble Ă  un cauchemar

Ne nous fait pas la morale si tu as la tĂȘte de leur format
Le cƓur qui fait trop mal
Tu comprends pas, normal, le tiens est dans le coma
AprĂšs des siĂšcles de trauma le flambeau n’est pas Ă©teint
Il a traversé les siÚcles et on est plein
On a vu la bĂȘte essayer de nous Ă©treindre
Elle est sortie de vos tĂȘtes pour nous enfermer dans l’écrin
Son vice on le connaüt bien, ça fait un baille qu’il s’est trahi
Le systùme n’est qu’une abomination qui s’est bñtie
Sur les plus faibles, vouĂ© Ă  s’écrouler, allez leur dire !
Mais qui peut ĂȘtre heureux quand tout le vivant est meurtri ?

Écartez vous si vous ĂȘtes trop lĂąches pour voir la vĂ©ritĂ©
Laissez passer les esprits libres
LignĂ©e de ceux qui renverseront l’histoire
On ne changera pas le monde si on compte sur les pessimistes
Alors fermez la maintenant, on en a marre de votre poison
V’nus faire pĂ©ter les cloisons, car c’est l’heure de la moisson
Fermez-la maintenant, bande de propageurs de vibes sombres
Fermez-la maintenant !

On entend que vous depuis des siĂšcles
Votre parole est monopole

Pédagogie « garde à vous », pensée unique et holocauste
Vous ĂȘtes en nous, nous sommes en vous puisqu’on est l’autre
Ressurgi des vieux bĂ»chers car aujourd’hui sera notre Ă©poque
Donc on s’exprime et nos idĂ©es rĂ©sonnent
Partout, parce qu’on porte le mĂȘme cƓur
Et qu’on s’est reconnu dans l’autre
Bande de sorciers, ça fait un baille que vos mots nous endorment
Arrivent à corrompre les nîtres jusqu’à voir l’enfer prendre forme
Mais voici l’temps des rĂ©vĂ©lations
Qu’ils veuillent ou non, la derniĂšre gĂ©nĂ©ration
Avant autre chose, la chute ou l’élĂ©vation
On a envers vous aucune vénération

Sans l’accĂ©lĂ©ration, l’passage aura la couleur de sa considĂ©ration
C’est la guerre des esprits, conquĂȘte des imaginaires
On arrive Ă  l’heure du choix, Ă  la croisĂ©e des chemins
Le choix d’une civilisation, il y a longtemps partie en quĂȘte
Face Ă  son propre destin

Écartez vous si vous ĂȘtes trop lĂąches pour voir la vĂ©ritĂ©
Laissez passer les esprits libres
LignĂ©e de ceux qui renverseront l’histoire
On ne changera pas le monde si on compte sur les pessimistes
Alors fermez la maintenant, on en a marre de votre poison

V’nus faire pĂ©ter les cloisons, car c’est l’heure de la moisson
Fermez-la maintenant, bande de propageurs de vibes sombres
Fermez-la maintenant !