hello, hello planète terre, planète en détresse petit homme surmené au milieu d´sos petit homme n´entend plus même son propre mal-être
il court pour oublier qu´il s´est oublié dans le paraitre ...
hello, hello gens pressés, les nerfs à l´envers qui pronent un royaume qui ressemble à l´enfer pret a mourir pour défendre la cage qui a tué nos ames et tout ce qu´elles referment couleur d´usine, ou barreaux en fer horizon barrières, là ou murs nous encerclent sombre mise en scène, dire qu´ils pensèrent effacer l´ensemble de la sagesse ancienne aujourd´hui sans repères, civilisation de vices et de gangsters vent d´indignation venu de la planète entière fils de l’aberration que les siècles étranglèrent brise tes chaines ! sois gardien de ton frère
incarne dignement ce que le ciel t´a offert en plein chamboulement, électrique atmosphère Babylone s´écroule quand on agit par nous-même alors brises tes chaines !
hello, hello gens pressés, la tête dans l´assiette ! une vie entière à regarder par la fenêtre a rêver en silence d´une autre vie, d´un autre soi alors l´oubli de soi fera l´affaire mais dans l’esprit tout les soirs sera de la fête l´angoisse et les cris étouffés par le paraitre des nœuds dans la tête, les poignets liés héritiers du mal-être brises tes chaines !
(parlé) : écoute le souffle de l´âme, les foules n´ont pas raison troupeaux et fous de drames ne se posent pas de questions ici a tout de grave ??? chant de plaies, de lésions, sur le macadame les cœurs se fanent car l´atmosphère est sous pression
hello, hello gens pressés sans inhibition qui marchent dans la nuit dans l´oubli de qui ils sont la loi du bifton a tué l´enfant, l´a dupé pour aduler la grande division les gens se détestent, malédiction les gens se dépêchent sans savoir ou ils vont angoisse et stress, poisse, détresse
l´esprit carré comme une télévision humains qu´on délaisse, pays riche et ses champs d´sdf légitime on se bat on se lève véridique chez jeunesse ya plus une once de rêve, tous trahis on se crève en secret on s´aime, on se haït on saigne si on faillit on serre, on crève si on cède rien n´est facile, on sait la vie vouée à triompher alors brises tes chaines !
hello, hello gens pressés, la tête dans l´assiette ! une vie entière à regarder par la fenêtre a rêver en silence d´une autre vie, d´un autre soi alors l´oubli de soi fera l´affaire
mais dans l’esprit tout les soirs sera de la fête l´angoisse et les cris étouffés par le paraitre des nœuds dans la tête, les poignets liés héritiers du mal-être brises tes chaines !
hello, hello gens pressés, délaissés de l´histoire qui s´interdit de croire en sa propre victoire tête baissée pour ne plus voir le futur, pour ne plus voir l´usure dans son propre miroir dérisoire rêve de vitrine, victime tuerai pour la gloire, attiré par ce qui brille ne pensant qu´à avoir, prétendant tout savoir désabusé a force de croire tout ce qu´ils disent sur le banc des accusés : insoumission
qu´on veut morte ou derrière des barreaux de prison digne héritière étriquée aux éclats de vérité mutilée par bien trop d´oppressions, arbitraire horizon chacun ses schémas, son vécu, ses raisons inertie totale, infectées les plaies le sont sclérosés par des milliers de questions et les angoisses qu´elles t´amènent vas-y sauve toi de toi-même !
hello, hello gens pressés, la tête dans l´assiette ! une vie entière à regarder par la fenêtre a rêver en silence d´une autre vie, d´un autre soi alors l´oubli de soi fera l´affaire
mais dans l’esprit tout les soirs sera de la fête l´angoisse et les cris étouffés par le paraitre des nœuds dans la tête, les poignets liés héritiers du mal-être brises tes chaines !