Je viens de là où le ciel est bleu Je viens d´un monde où tout est gris A quinze piges on se sent déjà vieux Et à cinquante encore puéril On a des problèmes affectifs
Plus facile d´accuser les autres On nous prend pour des imbéciles et la naissance distribue les rôles L´histoire du riche contre le pauvre, ou du blanc contre le noir Du rouge contre le vert quand on s´ignore on s´identifie à n´importe quoi Des querelles millénaires, des injustices profondes, des pillages, des croisades, des guerres de religions, des cœurs obscurs chacun voit Dieu à son image Des, des mensonges dans les médias, des mensonges dans les livres d´Histoire Suffisance intellectuelle, excroissance, 10 pour-cent de capacité cérébrale On ne maîtrise pas son esprit, on ne consente pas sa pensée Trop de mental quand on s´exprime et trop d´émotions quand on se tait
Je viens d´un monde où tout est faux Même les rêves sont pré-fabriqués Les gens ne savent plus penser Je viens d´un monde où tout est faux Mais qui arbitre ceux qui veulent arbitrer Les gens ne savent plus aimer Je viens d´un monde où tout est faux
Éduqués aux mensonges et aux raccourcis Humains hypocrites l´intérêt adouci Formatés, mises à jour pour des lois abusives Comme la télé, les médias, la publicité Tant de cerveaux [?] contrôle des imaginaires La pensée unique, impose l´unicité, et elle a des milliers, des milliers, des milliers, des milliers d´armes et on est braqués constamment J´ai prié, j´ai crié, j´ai prié, j´ai grillé mon cœur à faire confiance consciemment
J´ai vrillé, j´ai brillé, j´ai creusé en moi, on vainc ses peurs seulement en y allant J´ai prié, j´ai pris sur moi car on éloigne la chance et le bonheur en râlant On attire les vautours en se noyant Également quand on s´en sort Sors du lot et tu te sens seul Depuis le grand saut j´ai Dieu avec moi j´ai pas besoin de tes renforts Tant que mon cœur bat encore je paierai d´être trop fidèle, à mes pairs et à mes idéaux d´hier Trainée dans la boue je suis la solitaire
Je viens d´un monde où tout est faux Même les rêves sont pré-fabriqués Les gens ne savent plus penser Je viens d´un monde où tout est faux
Mais qui arbitre ceux qui veulent arbitrer Les gens ne savent plus aimer Je viens d´un monde où tout est faux Même les rêves sont pré-fabriqués Les gens ne savent plus penser Je viens d´un monde où tout est faux Mais qui arbitre ceux qui veulent arbitrer Les gens ne savent plus aimer Je viens d´un monde où tout est
En plastique Des néons, des écrans de fumées pour nous faire oublier, que l´on assiste, à l´asphyxie du monde, à sa violence qui monte dans le bourbier on s´enracine Révise tes références, l´Occident n´a que la science de la guerre pour raison raciste, enfant du monde, cherche ailleurs des exemples ici le manque d´espoir nous contamines
Trop peu d´humanité la solidarité y est même perçue comme has-been T´imagines comme on nous la mise, divisés jusqu´au au sein de nos propres familles Les héros d´autrefois ne sont plus, le monde crie famine et le reste tournent le regard, mes parents paniquent à la moindre faillite
Je viens d´un monde où tout est faux Même les rêves sont pré-fabriqués Les gens ne savent plus penser Je viens d´un monde où tout est faux Mais qui arbitre ceux qui veulent arbitrer Les gens ne savent plus aimer Je viens d´un monde où tout est faux Même les rêves sont pré-fabriqués Les gens ne savent plus penser Je viens d´un monde où tout est faux
Mais qui arbitre ceux qui veulent arbitrer Les gens ne savent plus aimer Je viens d´un monde où tout est faux