Et même si le temps presse. Même s´il est un peu court. Si les années qu´on me laisse. Ne sont que minutes et jours. Et même si l´on m´arrête.
Ou s´il faut briser des murs. En soufflant dans des trompettes. Ou à force de murmures.
J´irai au bout de mes rêves. Tout au bout de mes rêves. J´irai au bout de mes rêves Où la raison s´achève. Tout au bout de mes rêves. J´irai au bout de mes rêves. Tout au bout de mes rêves. Où la raison s´achève. Tout au bout de mes rêves.
Et même s´il faut partir. Changer de terre ou de trace. S´il faut chercher dans l´exil. L´empreinte de mon espace.
Et même si les tempêtes. Les dieux mauvais, les courants. Nous ferons courber la tête. Plier genoux sous le vent.
J´irai au bout de mes rêves. Tout au bout de mes rêves. J´irai au bout de mes rêves. Où la raison s´achève. Tout au bout de mes rêves. J´irai au bout de mes rêves.
Et même si tu me laisses. Au creux d´un mauvais détour. En ces moments où l´on teste. La force de nos amours. Je garderai la blessure.
Au fond de moi, tout au fond. Mais au-dessus je te jure Que j´effacerai ton nom.
J´irai au bout de mes rêves. Tout au bout de mes rêves. J´irai au bout de mes rêves. Où la raison s´achève. Tout au bout de mes rêves. J´irai au bout de mes rêves. Tout au bout de mes rêves. Où la raison s´achève. Tout au bout de mes rêves. J´irai au bout de mes rêves. Tout au bout de mes rêves. Où la raison s´achève. Tout au bout de mes rêves.
J´irai au bout de mes rêves. Tout au bout de mes rêves. Où la raison s´achève. Tout au bout de mes rêves. J´irai au bout de mes rêves. Tout au bout de mes rêves.
Cette chanson est une reprise. Sa version originale a été créée par Jean Jacques Goldman