Pendant que nos villes brûlent dans le carburant des urnes Je te ferai l´amour comme on ne le fait plus Les pieds dans le goudron la tête dans les plumes
J´ai chuchoté si fort qu´tu m´as entendu
Je te ferai valser sur des tangos et vibrer les côtes Tanguer sur des îlots d´un nouveau monde à l’autre Je te ferai l´amour comme on ne le fait plus J´ai chuchoté si fort qu´tu m´as entendu
Il pleut des cordes sur les gabardines Moi j´ai toujours su que les femmes avaient le goût de grenadine Les taxis passent et l´envie défile A la vitesse d´un limier lâché sur sa cible
I´m coming after, coming after, coming after you And I´m coming after, coming after, coming after you
I´m coming after, coming after, coming after you And coming after, coming after, coming after you
Je lève mon verre à la chaleur de l´épiderme Aux enfants de coeur, aux brutes épaisses Qui se donnent la réplique sans avoir lu leur texte Je lève mon verre à nos succès, à nos échecs A nos victoires , à nos défaites A tes yeux de Fremen Et à l´amour que je porte à cette époque obsolète
Nos meilleures histoires dorment sous les couvertures Jusqu´à c´qu´une lampe le soir révèlent la vraie nature Les pieds au plafond, la tête dans le future
J´ai chuchoté si fort que tout le monde s´est tu Tournée générale, c´est pour moi, vas-y sers toi Ce que je donne je ne le reprends pas J´ai croqué dans le fruit qui m´était défendu Je te ferai la cour comme on ne le fait plus
Je lève mon verre à la chaleur de l´épiderme Aux enfants de coeur, aux brutes épaisses Qui se donnent la réplique sans avoir lu leur texte Je lève mon verre à nos succès, à nos échecs A nos victoires , à nos défaites A tes yeux de Fremen Et à l´amour que je porte à cette époque obsolète
I´m coming after, coming after, coming after you
And I´m coming after, coming after, coming after you
Je lève mon verre à la chaleur de l´épiderme Aux enfants de coeur, aux brutes épaisses Qui se donnent la réplique sans avoir lu leur texte Je lève mon verre à nos succès, à nos échecs A nos victoires , à nos défaites A tes yeux de Fremen Et à l´amour que je porte à cette époque obsolète