On veut de la vitesse fragile Des fleurs à tous les feux rouges pour freiner notre adrénaline A grand combat de caféine La belle parade des ondes qu´on avale à outrance
Sans rien dire, sans rien dire On peut croire en de nouveaux jours Dans le sillage des hommes que La raison ignore depuis toujours On peut même jouer à être sourd Pleurer les palais qui s´écroulent mais Pas les déserts peint en rouge On s´est laissé tomber à genoux On s´est enlisé jusqu´au cou Mais un mot de toi pour ma peine Ma paranoîa sur tes lèvres Mais Alléluia le vent se lève Sur l´enfer où je me promène Des nébuleuses dans nos têtes explosent As-tu gouté à la dernière nouveauté que la mort propose Au marché des corps qu´on expose Ce sont les vieux, au plus que douteux sex-appeal qui disposent
On s´est laissé tomber à genoux On s´est enlisé jusqu´au cou Mais un mot de toi pour ma peine Ma paranoîa sur tes lèvres Mais Alléluia le vent se lève Sur l´enfer où je nous surveille J´ai donné ma vie pour partager la tienne Bien écorché vif je m´éveille Mais un mot de toi pour ma peine Ma paranoîa sur tes lèvres Mais Alléluia le vent se lève Cet enfer est tout ce qu´il me reste