Je veux la tête dans les nuages Elle est trop lourde pour mes épaules Les coups de fou... Annoncent l´orage Mon Obélix, j´aurai ta Gaulle Il faut hisser le blanc drapeau
Ce n´est pas le torse qu´il faut qu´tu bombes Pour que la bave du beau crapaud Étreigne sans peine la colombe
Ne forçons point notre talent Nous ne ferions rien avec grâce « Jamais un lourdaud quoi qu´il fasse Ne saurait passer pour galant »
Ne forçons point notre talent Nous ne ferions rien avec grâce « Jamais un lourdaud quoi qu´il fasse Ne saurait passer pour galant »
Tu ne cesses de me répéter Qu´au lit souvent tu t´ennuies Mais t´es-tu déjà demandé
Si ce n´était pas mon cas aussi « Les délicats sont malheureux Rien ne saurait les satisfaire » Alors je tire l´diable par la queue Pourvu qu´il protège mes arrières
Tu veux me voir nue comme un ver Promets-moi donc le septième ciel Et calcule le coefficient De mes belles courbes exponentielles Je veux qu´il y ait anguille sous roche Qu´tu mettes les deux doigts dans la prise Je veux qu´ma lune tu la décroches Que tu redresses ta tour de Pise
Ne forçons point notre talent Nous ne ferions rien avec grâce « Jamais un lourdaud quoi qu´il fasse
Ne saurait passer pour galant »
Tout vient à point à qui s´ra tendre Ne tire jamais à blanc tes balles Sur le sujet je veux m´étendre Sur tes principes être à cheval
Tu ne cesses de me répéter Qu´au lit souvent tu t´ennuies Mais t´es-tu déjà demandé Si ce n´était pas mon cas aussi « Les délicats sont malheureux Rien ne saurait les satisfaire » Alors je tire l´diable par la queue Pourvu qu´il protège mes arrières
Pour vivre heureux vivons couchés Sans dessus certes mais sans dessous
Sur mes défauts tu peux loucher Mais n´me laisse pas dormir debout Dormir debout… Dormir debout Dormir debout… Dormir debout Dormir debout… Dormir debout Dormir debout… Dormir debout
Tu ne cesses de me répéter Qu´au lit souvent tu t´ennuies Mais t´es-tu déjà demandé Si ce n´était pas mon cas aussi « Les délicats sont malheureux Rien ne saurait les satisfaire » Alors je tire l´diable par la queue Pourvu qu´il protège mes arrières
Tu ne cesses de me répéter Qu´au lit souvent tu t´ennuies
Mais t´es-tu déjà demandé Si ce n´était pas mon cas aussi « Les délicats sont malheureux Rien ne saurait les satisfaire » Alors je tire l´diable par la queue Pourvu qu´il protège mes arrières
Tu ne cesses de me répéter Qu´au lit souvent tu t´ennuies Mais t´es-tu déjà demandé Si ce n´était pas mon cas aussi « Les délicats sont malheureux Rien ne saurait les satisfaire » Alors je tire l´diable par la queue Pourvu qu´il protège mes arrières
Tu ne cesses de me répéter Qu´au lit souvent tu t´ennuies
Mais t´es-tu déjà demandé Si ce n´était pas mon cas aussi « Les délicats sont malheureux Rien ne saurait les satisfaire » Alors je tire l´diable par la queue Pourvu qu´il protège mes arrières