[Gued´1] Yeah! Yeah! Gued´1, La Fouine, Canardo Banlieue Ouest Music 7-8
Ils croient qu´je joues,quand je deales ma came Qu´j´suis pas gêné d´pourrir ici, la journée sous le hall A galérer courir derrière le nif Dans la rue, La vraie où c´est l´malheur qui te fournit Mes textes sont halams à digérer comme une seringue dans le bras de ta fille Dis-moi comment tout changer quand tout-Tout Tout ne tient qu´à un fil Et j´arrêterais d´rapper et j´pourrais donner un vrai sens à ma vie Ma folie est tristesse si bien qu´ma haine n´a plus de cible exacte J´peux pas tout contenir dans un seul coeur alors je fais du mal Je fais du mal, je Le regrettes mais je n´ai pas d´échappatoires
Personne me Paie la bouffe et puis y´a qu´Dieu qui peut m´juger je crois C´est pas à coups d´baguetes que toutes mes plaies pourront cicatriser, j´m´enfumes de plus en plus mais le passé n´est pas aux oubliettes L´espoir est une catain sûr répondeur, quand la nuit tombe On veut s´approcher des étoiles,En s´é-s´é-s´é s´égarant à L´horizon Le temps passe avec ses perfidies, tout devient plus difficile Mais j´irais droit au but, à part le ciel ,je n´ai aucunes limites Yeah!
[La Fouine] Ils nous critiquent parce qu´on vient d´en bas Issues d´un peuple qui a trop souffert
Ils croient qu´ça nous amuses de rester en bas Et nos problèmes ils en ont rien a faire Ils nous critiquent parce qu´on vient d´en bas., Issues d´un peuple qui cherche la lumière Ils croient qu´ça nous amuses de rester en bas Et nos problèmes ils en ont rien a faire
[Gued´1] Les apparences sont bien trompeuses, moi j´ai pas de lien de parentés Avec un mec blindé donc elle se sauve, refermes la parenthèse J´ai Les réflexes d´un incompris, dérouté par son dernier verre Le moment ou je souffles, c´est quand 38 est posé sûr ma tête Le borgne n´a qu´un oeuil , mais arrive à pleurer quand même
J´avances à petits pas, ma douleur refuse que je me plaignes Un érudit réduit à sourire devant l´ironie du sort Contraint de planer dans le silence, ralenti par un joint en trop! Ils m´garantissent la taule, nous abrutissent très tôt Et puis y´a pas d´remèdes quand y´a l´verrou chez maman qui saute J´m´abstiens dans l´engrenage, critiqué par l´hypocrisie Issue d´un peuple qui à trop souffert, j´ai des séquelles dans ma valise Mensonge est vérité et toi t´es censé t´assagir mais tout le quartier brûle Car le respect n´a pas élevé les flics Moi j´reprèsentes les miens, la rue c´est mon premier public
Et malgrès les oui-dires, j´veux mettre la côte derrière mon nom d´famille
[La Fouine] Ils nous critiquent parce qu´on vient d´en bas Issues d´un peuple qui a trop souffert Ils croient qu´ça nous amuses de rester en bas Et nos problèmes ils en ont rien a faire Ils nous critiquent parce qu´on vient d´en bas., Issues d´un peuple qui cherche la lumière Ils croient qu´ça nous amuses de rester en bas Et nos problèmes ils en ont rien a faire