La neige comme des cendres Au milieu de décembre Comme le poids est lourd Comme le poids est lourd
Je porte sous le bras Mille cahiers à la fois Noircis de phrases belles Écrites que pour toi
Et le sang qui me monte à la tête Quand tu me parles d’elle Et je souris pourtant Et je sais que mon cœur est ailleurs dans tes sentiments Mais je lance des cailloux à ta fenêtre Et je lance des pierres pour que ton être Se déchire, se divise et qu’il soit mien
J’ai déjà bien trop bu Pour ce soir il faudrait Que tu m’accompagnes Dans la tempête
Nous irons, silencieux Je ne prendrai pas ta main Et demain si tu veux Retourne auprès d’elle
Et le sang qui me monte à la tête Quand tu me parles d’elle Et je souris pourtant Et je sais que mon cœur est ailleurs dans tes sentiments Mais je lance des cailloux à ta fenêtre Et je lance des pierres pour que ton être Se déchire, se divise et qu’il soit mien
Et le sang qui me monte à la tête Quand tu me parles d’elle Et je souris pourtant Et je sais que mon cœur est ailleurs dans tes sentiments
Mais je lance des cailloux à ta fenêtre Et je lance des pierres pour que ton être Se déchire, se divise et qu’il soit mien