[Lacraps] Triste constat on manque tous de fonds et j´ai qu´du shit à vendre j´avoue Et j´vois la vie comme une course de fond donc j´réfléchis avant chaque foulée
Dévoué à ma mif, à la zic, coupe mes rimes à la scie t´es fou mec J´veux pas m´asseoir sur l´trône trop peur d´être mal assis mec J´voulais rapper, foutre l´boxon pas rester là passif Échouer n´est pas dans mes options, je n´lâcherai pas ma cible Éprouvé mais j´garde les crocs et j´sais qu´mes gars m´assistent Y aura pas une phase de trop mec passe le crom´, j´fais des dégâts massifs Conscient qu´c´est pas facile de faire sa place à long terme T´es en major ou t´es pistonné si tes sons passent à l´antenne J´suis toujours présent, j´travaille ma tech´, j´m´entête, je gratte
L´impression que j´perds la raison dans ma tête en texte crade Accroc aux rimes, tiens gros j´te balance un 16 de crack Prend d´l´avance, j´t´aurais rejoins avant qu´ne cesse le track J´travaille les lettres moi j´en dors mal, elles s´précipitent Toujours précis, vu l´temps qu´j´y passe normal que mes récits piquent
C´est ceux qui font des récits pétés, qui taffent en ces temps durs Combien se sont précipités quitte à foncer dans l´mur ? On s´demande pas où on a mis les pieds, j´les vois tous glander sur l´banc Nos mots s´comparent à dix milles épées, on arrive doucement mais sûrement
C´est ceux qui font des récits pétés, qui taffent en ces temps durs Combien se sont précipités quitte à foncer dans l´mur ? On s´demande pas où on a mis les pieds, j´les vois tous glander sur l´banc Nos mots s´comparent à dix milles épées, on arrive doucement mais sûrement
[L´amiral de la zone] Y´a ceux qui stressent, ceux qui vont doucement, ceux qui savent que presque tous mentent Stress, rage, tourments, soif de revanche qui te rend gourmand L´amiral Lacraps tu reconnais l´son, nos voix sont crades mais pas dans les urnes 1-3-3-4 une vraie connexion, le voisin craque et frappe dans le mur
J´n´y prends pas garde, je monte la mienne, chacun de leurs actes augmente ma haine Ne renie pas mon investissement, le temps qui passe nous laisse à la traîne J´les vois faire sans leur déguisement, des menaces des avertissements Ça court, ça s´bat pour être à l´antenne, faisant d´ma zik´ un divertissement J´remplis des pages de mes coups de gueule, transforme la rage d´un jour de deuil J´évite de m´perdre dans mon engouement en sachant qu´au final on est tous seuls Eh oui mon ami faut s´y faire, les langues de putes vocifèrent Tu m´as vu zoner sans but, sache que ma solitude vaut 6 frères La musique j´la vis sans folie, p´tit à p´tit j´fais ma symphonie
Entres sauteries microphoniques ou colère que l´égo fournit Ils ont cru me distancer, n´ont pas compris qu´j´les suivais pas Pas tellement fait pour les sentiments, le combat prime je tire dans l´tas
C´est ceux qui font des récits pétés, qui taffent en ces temps durs Combien se sont précipités quitte à foncer dans l´mur ? On s´demande pas où on a mis les pieds, j´les vois tous glander sur l´banc Nos mots s´comparent à dix milles épées, on arrive doucement mais sûrement
C´est ceux qui font des récits pétés, qui taffent en ces temps durs
Combien se sont précipités quitte à foncer dans l´mur ? On s´demande pas où on a mis les pieds, j´les vois tous glander sur l´banc Nos mots s´comparent à dix milles épées, on arrive doucement mais sûrement