[Lacraps] Là gros t´es pas censé danser Si c´morceau t´fais bader Ben dis-toi que j´suis seul dans mes pensées J´ai que l´son pour m´évader
Et j´étais ce p´tit con stressé, pressé d´écouler ses barrettes Intérieurement blessé, mais j´essaye de rien laisser paraître Mon quotidien est morose, c´est rancœur douleur et peine Du mal à voir la vie en rose, en ayant l´cœur couleur ébène Et même si les plaies, derrières mes sourires sont immenses Peux pas perdre mon temps J´me contente de souffrir en silence J´suis né parmi les parias J´laisse ma plume parler frelot Mais elle est bien consciente Que Marianne baise la plupart des prolo Bref r´marque que la galère perdure J´veux que moi et mes amis on monte
J´ai compris l´mot souffrance Quand j´ai perdu celle qui m´a mis au monde J´veux qu´on dise de moi "il est resté le même jusqu´à ses dernier soupirs" Sois conscient que la seule façon d´être heureux c´est d´aimer souffrir On est des gens seuls, dirigés par des gens sombres Comme dirait Jeff, les chanceux ne comprendront pas mes chansons
On a l´esprit sous vide Et un tas d´souvenirs lancinants Ici les cœur de pierre lâchent que des sourires en ciment La hausse des prix saoule vite On s´doit d´se soutenir sans finance On a jamais eu peur de perdre
On ne sait que souffrir en silence
[ Melan] Un réveil de plus, c´est reparti pour un tour gros Allez rendors toi ma puce, avant que j´abuse la prod est saoul gros C´est reparti pour un tour c´est grave, m´voyez ? Seul face à toutes ces crasses Sur l´mur le passé grave Mes phalanges broyées quand le doute m´écrase J´ai appris à souffrir en silence Porter le poids du péché Un démon qui buvait trois fois c´que tu bois m´a repêché A nager dans l´éthanol plusieurs façades on a Seize piges et une paire de couilles espagnoles face à ton arme
Un apprentissage dans l´désastre Du biff des catines Des disputes des p´tites putes Qui tournent plus que les platines d´Heza Jeune on a tous bandé en regardant l´grand tenant sa liasse Contre la souffrance Y´a pas d´plan B on s´en contente demande à Diaz Loin de l´or j´ai grandi dans la brique Un daron de cœur dehors J´aurais bien voulu troquer son caddie contre la Brink´s Être libre Voila c´que ma brume et mes karma veulent Ivre, tapis dans l´silence ma plume n´en fait qu´à sa feuille
On a l´esprit sous vide
Et un tas d´souvenirs lancinants Ici les cœur de pierre lâchent que des sourires en ciment La hausse des prix saoule vite On s´doit d´se soutenir sans finance On a jamais eu peur de perdre On ne sait que souffrir en silence