💃🎤 Paroles de chanson Française et Internationnales 🎤💃

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Artiste : Lacrim
Titre : La Rue a ses dits-ban
[Les Affranchis]
Un jour... Un jour un des gamins du quartier a raccompagné ma mère jusqu´à la maison pour lui porter les courses. Vous savez pourquoi ? Par respect

Cet été, après l´Espagne j´serais a Cavalaire
Avec du biff, ta femme s´ra ma cavalière
Les clefs du coffre, si tu veux pas qu´on t´vate-sa donne!
Sur j´te fume si on t´fournit 25tonnes
S´en passe des choses dans un tel-hô balladins ...
Chez moi Yasmine prend d´la cock et trompe Aladin
On tire sur les schmits s´ils s´avancent à nous
Et s´ils me cherchent, j´serais dans les montagnes comme Provenzano
P´tit con, j´vais venir chez toi tu t´es cru si fort
4 du mat j´ouvre ta porte avec un cruciforme
Dans le chargeur la cartouche elle rentre
Un alibi, et jtraine ton corps en Poitou-Charente
Ma gueule tu savais pas que la rue a ses dits-ban

Ce week end sa monte a Bruxelle tapé la City-Banque
Et la plus belle des femmes quand elle m´dira "why ?"
Attend j´reserve au telephone on s´envole vers Hawaï
Sur un regard d´Harry Roselmack
J´ai pris un flingue, un barillet pour y arroser le mac
Y´a des bras cassé comme ce flic à Lille
A cette allure même les pâtissier auront un vrai calibre
Hey j´ai l´number à Béatrice Dalle
Madame est difficile elle consomme que d´la cristale
J´donne l´astuce pour avoir un Carrera GT
Une bonne paire de couilles sa donne une carrière agité

Tu as tord si tu me crois cool
Tel un ancien, j´fais échec et math en 3 coups
Hey par ici boy, j´pari 6 tonnes
Que sans etre frais j´peut la mettre a Paris Hilton
Ok ma chérie je vois que tu me lâches à peine
Je vais te recevoir dans ma suite à porte de la Chapelle
Que des punchlines, c´est machiavélique
Je t´héberge si t´es un peu schlag, la ma cave est libre

Ok Mister Yougataga, La Crime gros, No Time record, Wisla Gros

Les gens n´me regardaient plus de la même façon. Ils savaient que j´étais pas tout seul. J´avais plus à faire la queue à la boulangerie le dimanche matin pour avoir du pain frais. Le patron savait avec qui j´étais, et il faisait le tour du comptoir pour me servir. Peu importe le monde qui attendait, on s´occupait de moi d´abord. Les voisins se garaient plus dans notre allée, et pourtant on n´avait pas de voiture. A 13 ans, je gagnais plus d´argent que la plupart des adultes du quartier. J´pouvais même pas tout dépenser. J´avais tout ce qu´on peut avoir...