J´ai fais le tour de la Terre, j´ai fait le tour de la Terre Je l´ai vu, la vraie misère, j´pensais connaître la misère J´ai quitté la France, mais je l´aime, c´est elle qui me parle que de haine
Ils interdisent le Hijab de la justice en mizaine Y en a qui attendent le dajjal, alors qu´la Terre, elle dégèle Faut qu´je bois l´eau de zem zem avant le dernier zenzal Mais nique sa mère le Jack Daniel, nique ça mère le Cannabis C´est à cause d´eux qu´j´ai pas percé, comme un vrai numéro dix J´te souhaite d´être libre comme moi, j´te souhaite d´être libre comme l´air D´aller en haut d´la montagne et d´leur dire de niquer leur mère Je paye le fisc en euro, j´combats la hess en Dirham Ils s´prennent pour les fils du Capo, après les premiers milligrammes
Salam à tout les rajels, salam à toutes les rajels
J´ai vu des mères jouer des pères, parce que monsieur s´est fait la belle Si j´ai piraté ton compte, c´est qu´j´ai piraté le sien J´en sais beaucoup sur ton compte, laisse-moi régler les miens Subliminal dans mes textes, depuis mes premiers morceaux J´ai fini plus d´une conquête, ils taffent encore les dorsaux Ils taffent les bras et les pec´, j´m´en bats les couilles d´la pochette J´m´en bats les couilles du pe-cli, j´donnerais jamais la recette Et ceux qui savent ils respectent, et j´les respecte parce qu´ils savent
On craint jamais la défaite, quand on a le sang des braves
Aucun remède, aucun remède, trop d´fils de pute dans l´périmètre Même si l´ennemi est intérimaire, aucun conflit n´sera entériné Niquer des mères c´est le créneau, et ça depuis l´phénomèno Niquer des mères c´est le créneau, et ça depuis l´phénomèno Toujours au top, mais tu suce, j´préfère être disqualifié Ils ont l´mental pour le show biz, mash´Allah la qualité Pourtant j´t´ai serré la main, accepté qu´on soit égaux T´es comme les vieux du village, t´es prêt à marchander l´autre
J´ai fini le jeux, qui sont ces petits ? Maintenant je m´ennuie, ouais
Ça fait des mois qu´j´n´achète plus rien qu´j´ne sors plus la nuit, ouais Tu m´parles de carrière, apprends à vivre, j´apprends à mourir, ouais J´n´ai jamais donné un gramme de mon âme, pour me nourrir, ouais