đŸ’ƒđŸŽ€ Paroles de chanson Française et Internationnales đŸŽ€đŸ’ƒ

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Artiste : Lenny Kravitz
Titre : Fear
I smell the fear that rains inside
The thought of children who must oblige
To tainted dreams and polluted seas
The missing moon and melting trees
A mist of doom and clouds of pain

A toxic waste and an acid rain
The passing of our ignorance
A lifetime spent in abstinence

I living in fear, I living in fear
I canÂŽt tell you no lies
I living in fear, I living in fear

Conditioned to hate and them to blame
Their search for God is just the same
Machines for hearts, how warped a view
Forgeting that theyÂŽre human too
Waiting like a branded steer
Who first will launch the burning spear
When every day may be your last
You think weÂŽd learn from our past

I smell the fear that rains inside

The thought of so many lives denied
More wounded soldiers, another burning flag
And rows and rows of body bags
No time for tears as the night falls cold
Yeah yeah yeah yeah
The day survivors crawl back in their holes
As for the rest theyÂŽre shipped back home
Home to the rows of white tomb stones

Traduction
Je sens la peur qui sÂŽabat sur
Les pensĂ©es d’enfant forcĂ©s Ă  faire plaisir
Sur des rĂȘves corrompus et des mers polluĂ©es
La lune s’absente et les arbres fondent
Une brise funeste, des nuages de souffrance

Un déchet toxique et une pluie acide
La fin de notre ignorance
Une vie entiĂšre passĂ©e dans l’abstinence

Je vis dans la peur, je vis dans la peur
Je ne peux pas vous mentir
Je vis dans la peur, je vis dans la peur

FormatĂ©s Ă  la haine, c’est de leur faute
Leur quĂȘte de Dieu est toujours la mĂȘme
Des machines Ă  la place du cƓur, une vision dĂ©formĂ©e
Ils en oublient qu’ils sont aussi humains
Attendant, telles des vaches à l’abattoir
Qui sera le premier Ă  enfoncer son tison
Alors que chaque jour pourrait ĂȘtre le dernier
Tu pense qu’il nous faudrait apprendre de notre passĂ©

Je sens la peur qui sÂŽabat sur
Les pensées de tant de vies refusées
Plus de soldats blessés, un autre drapeau en flammes
Et rangées de sacs mortuaires
Pas le temps de pleurer, quand tombe la nuit glaciale
Ouais ouais ouais ouais
La journée les survivants regagnent leurs taniÚres
Comme les autres, ils sont envoyés chez eux
Chez eux, dans les rangées de pierres tombales blanches