Quand ce jeun´ homm´ rentra chez lui (bis) Il prit à deux mains son vieux crâne Qui de scienc´ était un puits ! Crâne, Riche crâne Entends-tu la Folie qui plane ?
Et qui demande le cordon Digue dondaine digue dondaine Et qui demande le cordon Digue dondaine digue dondon ?
Quand ce jeun´ homm´ rentra chez lui (bis) Il entendit de tristes gammes Qu´un piano pleurait dans la nuit ! Gammes, Vieilles gammes Ensembl´ enfant nous vous cherchâmes L´ mari m´a fermé sa maison Digue dondaine digue dondaine L´ mari m´a fermé sa maison Digue dondaine digue dondon !
Quand ce jeun´ homm´ rentra chez lui (bis) Il mit le nez dans sa bell´ âme Où fermentaient des tas d´ennuis !
Ame, Ma bell´ âme Leur huil´ est trop sal´ pour ta flamme ! Puis, nuit partout ! lors, à quoi bon ? Digue dondaine digue dondaine Puis nuit partout ! lors à quoi bon ? Digue dondaine digue dondon
Quand ce jeun´ homm´ rentra chez lui (bis) Il vit que sa charmante femme Avait déménagé sans lui ! Dame, Notre-Dame, Je n´aurai pas un mot de blâme ! Mais t´aurais pu m´ laisser l´ charbon, Digue dondaine digue dondaine Mais t´aurais pu m´ laisser l´ charbon, Digue dondaine digue dondon
Lors, ce jeun´ homm´ aux tels ennuis (bis)
Alla déchrocher une lame, Qu´il conservait avec l´étui ! Lame, Fine lame, Soyez plus droite que la femme ! Et vous, mon Dieu, pardon, pardon ! Digue dondaine digue dondaine Et vous, mon Dieu, pardon, pardon ! Digue dondaine digue dondon
Quand les croq´ morts vinrent chez lui (bis) Ils virent qu´ c´était un´ bell´ âme Comm´ on n´en fait plus aujourd´hui Ame, Dors bell´ âme ! Quand on est mort ! c´est pour de bon Quand on est mort ! c´est pour de bon Digue dondaine digue dondaine Quand on est mort ! c´est pour de bon Digue dondaine digue dondon