Quand y a la mer et puis les chevaux Qui font des tours comme au ciné Mais qu´ dans tes bras, c´est bien plus beau
Quand y a la mer et puis les chevaux
Quand la raison n´a plus raison Et qu´ nos yeux jouent à s´ renverser Et qu´on n´ sait plus qui est l´ patron Quand la raison n´a plus raison
Quand on raterait la fin du monde Et qu´on vendrait l´éternité Pour cette éternelle seconde Quand on raterait la fin du monde
Quand le diable nous voit pâlir Quand y a plus moyen d´ dessiner La fleur d´amour qui va s´ouvrir Quand le diable nous voit pâlir
Quand la machine a démarré
Quand on n´ sait plus bien où l´on est Et qu´on attend c´ qui va s´ passer
Je t´aime
Je t´aime pour ta voix, pour tes yeux sur la nuit Pour ces cris que tu cries du fond des oreillers Et pour ce mouvement de la mer, pour ta vie Qui ressemble à la mer qui monte me noyer
Je t´aime pour ton ventre où je vais te chercher Quand tu cherches des yeux la nuit qui se balance À mon creux qui te creuse et d´où ma vie blessée Coule comme un torrent dans le lit du silence
Je t´aime pour ta gueule ouverte sur la nuit Quand ta sève montant comme du fond des ères
Bouillonne dans ton ventre et que je te maudis D´être à la fois ma sœur, mon ange et ma Lumière
Quand y a la mer et puis les chevaux Qui font des tours comme au ciné Mais qu´ dans tes bras, c´est bien plus beau Quand y a la mer et puis les chevaux
Quand la raison n´a plus raison Et qu´ nos yeux jouent à s´ renverser Et qu´on n´ sait plus qui est l´ patron Quand la raison n´a plus raison
Quand on raterait la fin du monde Et qu´on vendrait l´éternité Pour cette éternelle seconde Quand on raterait la fin du monde
Quand le diable nous voit pâlir Quand y a plus moyen d´ dessiner La fleur d´amour qui va s´ouvrir Quand le diable nous voit pâlir
Quand la machine a démarré Quand on n´ sait plus bien où l´on est Et qu´on attend c´ qui va s´ passer