Le loup criait sous les feuilles En crachant de belles plumes De son repas de volaille Comme lui je me consume
Les salades, les fruits N´attendent que la ceuillette Mais l´araignée de la haie Ne mange que des violettes
Que je dorme ! que je bouille Aux autels de Salomon Le bouillon court sur la rouille Et se mêle au Cédron
Enfin, ô bonheur, ô raison, j´écartai du ciel l´azur, qui est du noir, et je vécus, étincelle d´or de la lumière nature. De joie, je prenais une expression bouffonne et égarée au possible :