Y a des fois, j´ te mate en loucedé C´est fou ce que t´as pu accuser En vingt piges qu´on est marida Du lot que t´étais, y a plus qu´un tas T´as les chailles qui se barrent en sucette
Les poumons qui se font la jaquette Je compte plus les plis que t´as sur l´estom´ Et pourtant, tu m´ bottes, ma parole d´homme !
Car y en a pas deux comme toi Pour astiquer ma jambe de bois Et me pousser dans ma p´tite chaise Jusqu´au troquet d´ la mère Thérèse Ouais, y en a pas deux comme toi Pour s´ biturer avec moi Et qui tienne suffisamment l´ coup Pour m´ ramener chez nous
Bien sûr, t´as plus tes vingts balais Mais te maquiller au beaujolais Ben, ça t´as pas pâlir la surface T´as même le foie qui fait la grimace, l´ancienne
Et quand j´ note ton pif violacé Moi, j´ai le traczir de le voir éclater, paf ! Ah, ça t´arrangerait pas la façade, hein ? Moi, j´en ai les moules, ça m´ rend malade
Car y en a pas deux comme toi Pour astiquer ma jambe de bois Et me pousser dans ma p´tite chaise Jusqu´au troquet d´ la mère Thérèse Ouais, y en a pas deux comme toi Pour s´ biturer avec moi Et qui tienne suffisamment l´ coup Pour m´ ramener chez nous
Écoute, l´ancienne, y faut que j´ t´éclaire Si l´un de nous deux s´ faisait la paire Je crois que j´ pourrais pas m´ consoler Rien qu´ d´en parler, moi, ça m´ fait chialer
Alors, note pas trop ce que j´ dégoise Bah ! T´es pas roulée comme une gauloise Mais tu sais bien que j´ me sens con Quand j´ai ta pogne sur mon moignon
Car y en a pas deux comme toi Pour astiquer ma jambe de bois Et me pousser dans ma p´tite chaise Jusqu´au troquet d´ la mère Thérèse Ouais, y en a pas deux comme toi Pour s´ biturer avec moi Et qui tienne suffisamment l´ coup Pour m´ ramener chez nous
Allez, t´occupe pas des signaux, l´ancienne Mets l´ charbon !