Je règle mes comptes Rubis sur l´ongle Argent comptant Ne verse plus d´acompte Les sourires, simagrées
Celles du gosse bien élevé Faut oublier Je ne me vois pas en vous Pas plus que vous ne croyez en moi J´envisage un tout Vous ne pensez qu´à vous Quand en mal vous bavez Quel bonheur cela ma fait De seize à vingt neuf J´en retiens treize Je passe à table Treize années de doute J´en pansé des croûtes Ca fait du chemin à contre sens Le même que le tien Ta vie ne ressemble pas à la mienne Tes envie ne ressemblent plus aux miennes Quant aux emmerdes on a les mêmes
On essaie de survivre à notre siècle Ton mépris je m´en délecte, à la tienne ! Je règle mes comptes Rubis sur l´ongle argent comptant Ne verse plus d´acomptes Les sourires, simagrées Celles du gosse bien élevé Faut oublier A l´arrache j´essuie mes larmes Que la paix ait mon âme Qu´elle étouffe ta hargne Pour ma part c´est un fait Je ne comprends pas Ton petit coté Travail, famille et patrie Pour ne pas dire football Partir de rien, Demeurer pas grand chose