L´hémorragie de tes désirs S´est éclipsée sous l´azur bleu dérisoire Du temps qui se passe Contre duquel on ne peut rien
Être ou ne pas être Telle est la question sinusoïdale De l´anachorète Hypocondriaque
Mais tu dis (mais tu dis) Que le bonheur est irréductible Et je dis (et il dit) Que ton espoir n´est pas si désespéré A condition d´analyser Que l´absolu ne doit pas être annihilé Par l´illusoire précarité De nos amours Destituées Et vice et versa
Il faut que tu arriveras A laminer tes rancœurs dialectiques
Même si je suis con... ... vaincu que c´est très difficile
Mais comme moi, dis-toi Qu´il est tellement plus mieux D´éradiquer les tentacules de la déréliction Et tout deviendra clair
Mais tu dis (mais tu dis) Que le bonheur est irréductible Et je dis (et il dit) Que ton espoir n´est pas si désespéré A condition d´analyser Que l´absolu ne doit pas être annihilé Par l´illusoire précarité De nos amours Destituées Et vice et versa
Où allons nous? D´où venons nous? J´ignore de le savoir Mais ce que je n´ignore pas de le savoir C´est que le bonheur Est à deux doigts de tes pieds Et que la simplicité réside dans l´alcôve Bleue, jaune, mauve et insoupçonnée De nos rêveries Mauves et bleues et jaunes et pourpres Et paraboliques Et vice et versa
Mais tu dis (mais tu dis) Que le bonheur est irréductible Et je dis (et il dit) Que ton espoir n´est pas si désespéré
A condition d´analyser Que l´absolu ne doit pas être annihilé Par l´illusoire précarité De nos amours Et qu´il ne faut pas cautionner L´irréalité Sous des aspérités absentes Et désenchantées De nos pensées iconoclastes Et désoxydées Par nos désirs excommuniés De la fatalité Destituée Et vice et versa