💃🎤 Paroles de chanson Française et Internationnales 🎤💃

 A   B   C   D   E   F   G   H   I   J   K   L   M   N   O   P   Q   R   S   T   U   V   W   X   Y   Z   0   1   2   3   4   5   6   7   8   9 
Artiste : Les Ogres De Barback
Titre : Flamme And´co
Je reviendrai s´il faut apprendre
L´art de la rue pour se défendre
À tous ces enfants au cœur tendre
Et qui ne savent pas comprendre

Que la liberté, ça s´effrite,
Tout comme la paix s´oublie vite !
J´ai pleuré mon pays
À feu et à cris,
Mes souvenirs maudissent
Cette terre que trahissent
Les Boum ! Ça fait « Boum ! »
Dans ma tête en plein été
Les enfants n´ont jamais,
Jamais fini de s´amuser.
Boum ! Ça fait « Boum ! »
Tombent les têtes en été,
Des enfants, des villages
Et, des fois, pour amuser
Fleurissent les barrières,
Glissent les frontières,
Meilleur sera le vin
Et l´odeur de nos festins.

Quant à la saison prochaine
Cultivons des chaînes !

« Et s´il est vrai que l´arsenal,
Si les moyens de nous faire mal,
Ne nous paraît plus si banal :
Combattrons-nous à armes égales ? »

C´est l´égalité qui s´effrite
Dans la vengeance qui s´agite
J´ai pleuré mon enfant
À feu et à sang
Mes souvenirs trahissent
Cette terre que maudissent
Les « Boum ! » qui font « Boum ! »
C´est l´hiver en plein juillet :
Des enfant qui s´amusent
Et qui ne passeront pas l´été.

Les « Boum ! » qui font « Boum ! »
Sur les roches et les galets,
Sur les plages, les visages
Et les paysages défaits
Oh ! oh ! oh ! Poussent les frontières
Et battissent les barrières
Meilleurs seront nos biens
Plus grand sera le besoin.
Quant à la saison prochaine
Produisons des chaînes !

Si pour changer une seconde
Tous les esprits tordus du monde
Qui ne supportent pas la ronde
Que font les âmes vagabondes

La fraternité ne s´ébruite

Que lorsque la paix nous panique !
J´ai pleuré mon amant
À feu et à sang,
Mes souvenirs trahissent
Ses regards que maudissent
Les « Boum ! » qui font « Boum ! »
Sur son visage en regrets,
Dans son corps son cœur saigne
Et le sang se glace en été
Les « Boum ! » qui font « Boum ! »
Sur sa colère en effet,
Cette guerre qui rumine
Et qui n´en finira jamais
Je hais les frontières,
Lui méprise les barrières
Si, pour fuir cet enfer,
Il lui faut tuer son frère
Quant à la chanson prochaine… OUBLIONS NOS PEINES !