La nuit, c´est le jour sans la lumière. L´hiver, c´est l´été loin du soleil. La haine, c´est l´amour en colère. Le beau, c´est le laid qui s´émerveille.
Le grand, c´est le petit qui s´élève. Le gros, le maigre qui s´épaissit. Le lent, c´est le rapide qui rêve. Le doute, c´est le certain qui s´enfuit.
Tout est tout et son contraire. Tout est le contraire de tout. Quand le tout traite de con, Le traite-de-con-tout-tant-tout.
Tout est tout et son contraire. Tout est le contraire de tout. Quand le tout traite de con, Le con du contraire est traité.
Le malheur, c´est la chance abandonnée. Le plein, c´est du vide rempli. Le mal, c´est le bien détourné.
Le groupe, ce sont les seuls réunis.
Le tôt, c´est le tard en avance. Le speed, c´est le calme énervé. Le rythme, c´est le hasard en cadence. La mort, c´est la vie inanimée.
Tout est tout et son contraire. Tout est le contraire de tout. Quand le tout traite de con, Le traite-de-con-tout-tant-tout.
Tout à coup, c´est le contraire, On se contente du tout. Quand le tout traite de con, Le con du contraire est traité.
Le près, c´est le loin qui s´en rapproche.
La peur, c´est le sûr de soi surpris. La crasse, l´élégant devenu moche. L´enfer, c´est tout près du paradis.
Le connu, c´est l´absent découvert. La vieillesse, quand la jeunesse est âgée. La pollution, quand l´écolo se met au vert. L´ancien, quand le nouveau est usé.
Le dur, c´est la tendresse vexée. Le silence, c´est le bruit qui écoute. Le serein, quand le bazar est apaisé. La faiblesse, c´est la force qui doute.
Le doute, c´est l´espoir brisé. L´espoir, c´est le mensonge cru. Le mensonge, ce n´est pas la vérité. La vérité, c´est pour les convaincus.
Mon cul, s´il enveloppe ma tête, Ensemble chantent cette chanson. Cette chanson pour ne pas la finir bête, Pas bête, je la termine con!