Je m´écris, je m´efface, seul dieu sait si je m´égare
Les armes ont repris le débat, personne n´évite les balles La main qui te gifle c´est la main qui essuie tes larmes Je dors pas comme si il y avait l´ennemi chez moi Poèmes nocturnes comme Sedar Les sentiments derrière un masque, une transaction derrière un match Le malheur des gens ça génère un max, une accolade on te met un oid´ Une poignée avec les mains moites, le Sheitan a toujours le sourire On peut enterrer, déterrer la hache, elle va toujours rester intact De la beuh pour éveiller mes sens, le buzz, les CD, les ventes, c´est bandant Tout le monde veut crever l´écran, les p´tits veulent faire couler les grands
Et toi t´attends quoi ? Personne ne va t´aider c´est mort La lumière quand ils l´ont, ils la gardent sur eux Ils n´pensent pas à éclairer les gens Ouvrir les yeux, serrer les dents On te fera du pied, tu t´fera duper N´demande pas l´poisson, demande les clés du chalutier C´est pas en plantant les graines des autres que tu récoleras du blé On se rappellera du nombre de cases, on s´rappellera pas du dé
Je m´écris, je m´efface, seul dieu sait si je m´égare Les mois, les années, rien n´change depuis le départ
Je détruis, j´répare, y´a que mon cash que j´épargne Rien ne change depuis le départ Je m´écris, je m´efface, seul dieu sait si je m´égare Les mois, les années, rien n´change depuis le départ Je détruis, j´répare, y´a que mon cash que j´épargne Rien ne change depuis le départ
Sale époque, même lavé le linge ne sera jamais propre Apparemment y´en a qui ont la méthode J´en ai vu s´asseoir sur des balais brosses Ils veulent tes fonds mais il font pas l´effort Y´a plus de responsabilités qu´y a d´épaules Quand tu dis qu´y a rien a gratter tu mens, comme les rappeurs qui disent qu´ils n´écoutent pas les autres
Même si t´es grande taille, tu peux finir rempli comme un épouvantail Maman t´avait dit de regarder devant toi Elle sait pas que c´est par derrière que les gens tapent, maintenant On s´contrôle pas, y´a des sentiments qu´on éprouve en retard Je prend des 4 heures de stud´ pour un seul son, j´me dépense grave, tu prends des cances-va Différents trains de vie, différentes classes On a pas tous eu des rents-pa qu´y étaient en place J´compte plus les phalanges que j´ai niqué dans le plâtre On voulait du rêve, on nous a vi-ser en balle Maintenant, qu´est-ce qu´on fait ? L´espoir s´est estompé, on laisse tomber ? Non, on reste hombre
On fera sans ou avec, un jour on sera peut-être comblé Je n´sait plus qui veut mon bien, qui veut m´réduire en dre-cen Donc quand je dis qu´je ne sais plus qui tuer ça prend 2 sens Nos vies, un virage à 90 degrés sans ceinture à 200 On est dedans, on a ça dans le sang, on touchera plus de tête que Dessange
Je m´écris, je m´efface, seul dieu sait si je m´égare Les mois, les années, rien n´change depuis le départ Je détruis, j´répare, y´a que mon cash que j´épargne Rien ne change depuis le départ
Je m´écris, je m´efface, seul dieu sait si je m´égare Les mois, les années, rien n´change depuis le départ Je détruis, j´répare, y´a que mon cash que j´épargne Rien ne change depuis le départ
Huh, rien n´change depuis l´départ Rien, rien, rien n´change depuis le départ J´répare, y´a qu´mon cash que j´épargne Seul dieu sait si je m´égare 80 tout court