TaïZ, Y&W L’Homme est mauvais, l’Homme est bon L’Homme est fier, l’Homme est malin, l’Homme est con L’Homme est arrivé sans rien
À part des milliards de questions sans réponse D’abord il a trouvé le feu De quoi pouvoir réchauffer la bouffe et l’eau froide Les marmots par dizaines on les laissait aux femmes Puis l’Homme a commencé à jouer aux armes Il voulait conquérir le monde, aller autre part Sur la planète il a dessiné des lignes Du sang il en a fait couler des litres Il a créé l’histoire en créant des livres À découvert que la Terre cachait des mines Le fer, le cuivre, l’argent, le cobalt Le coltant, l’or, l’or noir, il est trop fan Voiture, avion, bateau il se déplace Appart’, maison, Villa il se déclasse Les pigeons ne suffisent plus pour bien communiquer
Pour écrire des lettres y’a plus le temps et y a plus d’idée Il s’est servi de ce qu’il y avait sous terre, il s’est servi du ciel Il paye pour des conversations artificielles Il veut voir ce qu’il peut pas toucher Se débrouille pour tout faire sans avoir à bouger Ordinateurs et smartphones ont changé nos vies Y’a plus qu’à travers l’écran que le monde est jolie L’Homme s’est perdu dans le virtuel Il a fait de la distraction un rituel Des serveurs et des DATA retiennent tout ce qu’on fait Il aimerait pouvoir encoder la vie humaine Il alimente l’algorithme Jamais, jamais rassasié
Vie privée, devient partagée Même si on sait que c’est malsain on ne veut pas lâcher
Il sait où on va, ce qu’on mange, le son qu’on écoute Il sait qui on voit, et ce qu’on fait quand on a des sous Il sait qu’on a des souvenirs il s’en rappelle mieux que nous L’Homme ne réfléchit plus il a un cerveau de secours
Des rois, des chefs, esclaves, pyramides Prophète, martyrs, tout le monde qui lapide Guerre de 100 ans chaque siècle L´épée n’est pas sèche, des femmes qu’on brûle pour leur sagesse Enfants sur des trône Napoléon gagne un tas de guerres Amérindiens rayer de la carte parce que l’homme blanc a besoin d’un tas de terre Africain entassés dans des bateaux mais c’était pas pour partir en croisière L’Europe se partage le monde au bras de fer L’église a participé au calvaire avant de dissimuler ses affaires Des commandements qui ne sont pas dans les 10 Des génocide qui ne sont pas dans les livres Des rafales dans les villes Des dictateurs nourris au sein qui ne font que ce que leurs parents décident
L’Homme est mauvais, l’Homme est bon L’Homme est fier, l’Homme est malin, l’Homme est con L’Homme est arrivé sans rien À part des milliards de questions sans réponse D’abord il a trouvé le feu De quoi pouvoir réchauffer la bouffe et l’eau froide Les marmots par dizaines on les laissait aux femmes Puis l’Homme a commencé à jouer aux armes Il voulait conquérir le monde, aller autre part Sur la planète il a dessiné des lignes Du sang il en a fait couler des litres Il a créé l’histoire en créant des livres À découvert que la Terre cachait des mines Le fer, le cuivre, l’argent, le cobalt
Le coltant, l’or, l’or noir, il est trop fan Voiture, avion, bateau il se déplace Appart’, maison, Villa il se déclasse Les pigeons ne suffisent plus pour bien communiquer Pour écrire des lettres y’a plus le temps et y a plus d’idée Il s’est servi de ce qu’il y avait sous terre, il s’est servi du ciel Il paye pour des conversations artificielles Il veut voir ce qu’il peut pas toucher Se débrouille pour tout faire sans avoir à bouger Ordinateurs et smartphones ont changé nos vies Y’a plus qu’à travers l’écran que le monde est jolie L’Homme s’est perdu dans le virtuel Il a fait de la distraction un rituel
Des serveurs et des DATA retiennent tout ce qu’on fait Il aimerait pouvoir encoder la vie humaine Il alimente l’algorithme Jamais, jamais rassasié Vie privée, devient partagée Même si on sait que c’est malsain on ne veut pas lâcher